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Le
mardi 28 mars 2017
A l’attention de :
M. le procureur de la République / M. le
Président du TGI
Objet :
Dénonciation, plainte, ségrégation sociale et judiciaire
Copie
à :
Président
de la République
Premier
Ministre / Garde des Sceaux
Présidents
du Parlement
Président
des Groupes parlementaires
Président
de la Cour d’Appel / Procureur général
Directeur
de la Police judiciaire
Bâtonnier
/ M° Joxe
Syndicat
de la magistrature / Union syndical des
magistrats
Simonnot,
journaliste
Monsieur
le Procureur de la République,
Monsieur
le Président du Tribunal de Grande Instance (TGI),
La
presse nous apprend que six parlementaires ont déposé une dénonciation auprès
de : « Monsieur le procureur de la République et Madame le procureur
du parquet financier. »
La
légalité d’un texte utilisant le pronom masculin « le » devant le titre
d’une fonction exercée par une femme n’est pas évidente.
La
dénonciation nécessairement rédigée par des avocats est la suivante :
« Paris, le 27 mars 2017
Monsieur
le Procureur de la République
Madame
le Procureur national financier
« Notre
attention a été attirée par l’ouvrage intitulé « Bienvenue Place
Beauvau » de Didier Hassoux, Christophe Labbé et Olivia Recassens, dont la
parution en librairie est prévue le 31 mars 2017.
« Une
version électronique de ce livre nous a été communiquée et sa lecture révèle la
commission d’un certain nombre de faits d’une particulière gravité qui sont
susceptibles de revêtir différentes qualifications pénales.
« Vous
trouverez en annexe aux présentes un tableau de synthèse de ces infractions
dont certaines peuvent relever de la juridiction du Parquet National Financier.
« Nous
joignons également sur support informatique copie de l’ouvrage susvisé.
« Conformément
aux dispositions de l’art. 40 du Code alinéa 2 de procédure pénale, nous vous
demandons de donner aux présentes les suites que vous jugerez utiles.
« Nous
vous prions de croire, Monsieur le Procureur de la République, Madame le
procureur du Parquet national financier, à l’expression de notre parfaite
considération,
Signatures. »
C’est
mot à mot la logique que j’ai suivie pour les dénonciations que j’ai déposées.
Comme
les six parlementaires, j’appuie mes dénonciations :
a-
Sur les articles du Canard Enchainé ou du journal Le Monde pour ce qui est des
handicapés.
b-
Sur l’article 40 du code de procédure pénale
c-
Sur le statut de contribuable.
La
liste des faits présumés :
1-
Le détournement de fonds publics pour organiser le viol d’une députée par un
Chef d’Etat ; tous deux dans l’exercice de leurs fonctions.
2-
Le détournement de fonds publics, ceux dédiés aux handicapés, par l’équipe
dirigeante de la Mairie de Paris visant à « contourner la loi »,
selon la déclaration du député Caresche, aux fins de violer la loi 1905.
3-
Le pacte de corruption organisé entre M. Vicherat, Directeur de Cabinet de Mme
la Mairesse de Paris au moment des faits, et le PDG d’une entreprise Hôtelière
ayant selon le Canard Enchainé ses habitudes à l’Hôtel de Ville.
Ces
dénonciations ont commencé pour la première le 19 juillet 2012. A ces occasions :
1-
Je suis allé au Palais de justice consulter des avocats gratuits.
a-
Tous m’ont dit avec mépris que je n’avais aucun droit de saisir la justice
puisque je ne suis pas la victime.
b-
Aucun ne m’a parlé de la dénonciation.
2-
J’ai reçu une lettre du vice président du TGI, le 25 avril 2014. Il m’a signifié
avec hauteur et dégoût que je n’ai pas à demander compte à la justice d’un viol
dont je ne suis pas la victime.
3-
Je leur ai répondu que je ne portais pas de plainte mais que je dénonçais des faits
au titre de l’art. 40 et de mon statut de contribuable.
a-
Les avocats m’ont dit de sortir immédiatement du Cabinet.
b-
Le Vice-Président ne m’a plus adressé de courrier.
Pour
ce qui est du victimat ; ayant été violé deux fois, par des commerçants et
par des Officiers de police judiciaire (OPJ), en des endroits et des temps distincts,
je sais que la seule, la seule, la seule, réponse des magistrats à un dépôt de
plainte, au titre de victime, par une personne vulnérable, pour un viol par des
notables, est l’enlèvement du plaignant à son domicile et la torture en Hôpital
psychiatrique jusqu’au retrait de la plainte. C’est systématique et en tous lieux
et temps.
L’un
des piliers de cette politique particulièrement brillante est l’établissement
des handicapés comme lieu de négociations avec des réseaux criminels pour leur institutionnalisation.
Cf. Affaire Jukic.
1-
On comprend l’incapacité des magistrats à lire une dénonciation qui fait état
de la spoliation des handicapés. Eux-mêmes se servent de cette technique pour
installer les voyous en ville.
2-
Aujourd’hui, à Paris, les autistes, par exemple, sont pris en charge par des associations
qui leur apprennent à exiger de leurs parents de manger Hallal. Ceux-ci doivent
ruser avec leur enfant pour lui faire manger de tout.
3-
Autrement dit, les représentants de l’Etat livrent les Handicapés et les
enfants de l’ASE aux Frères Musulmans.
4-
L’important est l’omerta et l’entre-soi.
Par
ailleurs, l’affaire dite « Théo » nous appris que :
1-
Les agents de l’Etat délèguent le maintien de l’ordre aux voyous et en font à
cette occasion un service privé plus lucratif que les Autoroutes.
2-
L’Etat subventionne la formation de réseaux criminels et les magistrats retiennent
secrètes les informations judiciaires les concernant. C’est par une fuite
organisée par la police que le Maire d’Aulnay en a eu connaissance.
3-
Les policiers servent aussi de lieux de négociations entre les voyous et l’Etat.
C’est
la consolation des handicapés, ainsi que des personnes, familles, groupements,
vulnérables, spoliés, des députées violées, de savoir que désormais ils sont en
bonne compagnie.
1-
Des policiers, des gendarmes, dans l’exercice de leurs fonctions de maintien de
l’ordre public, sont à leur tour subordonnés à la primauté des droits personnels
des criminels. On se sent moins seuls.
2-
Ça devrait mettre du baume au cœur des élus violés, des contribuables volés, des
handicapés spoliés, des fonctionnaires honnêtes réduits au silence.
La
mondialisation fait exploser l’entre-soi des collègues de Promotion :
1-
En décembre 2015, les Etats-Unis sont intervenus contre la police nationale, la
Brigade de sécurité de quartier (BSQ) du 12ème ardt de Paris, par Associations interposées.
2-
En mars 2017, les chinois manifestent es qualité à Paris contre la police et le
gouvernement chinois donne officiellement des ordres à la police française.
3-
L’autorité des agents de l’Etat français n’est plus reconnue.
La
légalité de la dénonciation est donc établie. Vous ne pouvez plus la contester ni
vous opposer à l’étude de ces trois dénonciations. Sauf à dire que ce justiciable
n’a que l’Etat français comme référence ; autrement dit rien.
En
vous remerciant de votre attention et dans l’attente de vous lire,
Je
vous prie d’agréer, Monsieur le Procureur de la République, Monsieur le Président
du Tribunal de Grande Instance, l’expression de mes salutations distinguées,
Marc SALOMONE