Paris, le mardi 15 juillet 2014
Monsieur
le procureur de la République de Paris
Réf.
Officielles :
a-
N° Parquet : 14092000653
b-
N° BAJ : 2014/034867
Section-Division :
1-09
Date
de la demande : 30/06/2014
Plainte
contre X pour faux en écriture publique et usage de faux pour clore une action
publique.
Note :
Depuis le 19 juillet 2012, tous les textes de cette affaire sont sur le
blog : madic50.blogspot.com.
Copie
à :
Pouvoir
exécutif
Pouvoir
législatif
Autorité
judiciaire
Conseil
Constitutionnel
Ordre
des Avocats
Monsieur
le procureur de la République,
1)-
Sidération
Le
document en quatre exemplaires identiques que j’ai reçu est tellement
incroyable que j’ai vérifié minutieusement toute ma correspondance judiciaire
pour savoir si j’avais envoyé quatre demandes d’aide juridictionnelle (AJ) datées
du 30 juin 2014.
Il
n’en est rien. L’Attestation du 10 juillet 2014 est la répétition de
l’opération de la première Attestation, celle du 29 avril. C’est une récidive
de faux en écriture publique.
Cette
récidive accompagne l’expression continue d’une volonté de refuser l’Aide
juridictionnelle (AJ) totale permettant la nomination d’un avocat pour
accompagner la demande d’ouverture d’une enquête préliminaire concernant les
propos de Mme Guillaume dans son livre Le Monarque, son fils, son fief.
Cette
manœuvre est malhonnête dans ses inttentions mais aussi dans son
exécution ; ce qui motive cette plainte et les précédentes.
2)-
L’objet de la plainte
A-
L’objet
Le
10 juillet 2014, je reçois une Attestation de dépôt de demande d’aide
juridictionnelle. Le 11 juillet 2014, j’en reçois trois autres ;
identiques.
Je
dépose plainte au sujet de ces Attestations pour faux en écriture publique,
tromperie et obstruction organisées au fonctionnement de la justice.
B-
La manœuvre
Comme
pour l’Attestation du 29 avril et l’Avis de classement du 30 mai, il s’agit de
détourner la procédure de sa demande naturelle qui est la demande d’aide
juridictionnelle formulée le 17 avril 2014 pour accompagner par l’expertise
d’un avocat la demande d’ouverture d’une enquête préliminaire déposée le 19
juillet 2012.
C-
L’unicité
Ces
documents identiques procèdent d’une seule décision qui les considère comme une
question unique à laquelle il convient d’apporter une seule réponse. C’est
pourquoi je les ressemble dans une seule plainte.
3)-
Historique
1-
Le 29 avril 2014, je reçois une Attestation de dépôt de demande d’AJ.
2-
Le 10 juin 2014, je dépose plainte contre X auprès de M. le procureur de la
République pour faux en écriture publique dans une Attestation du Bureau d’aide
juridictionnelle (BAJ) envoyée le 29 avril 2014.
3-
Le 11 juin 2014, je reçois un Avis de classement délivré par le Parquet. Il est
daté du 30 mai, l’enveloppe est datée du 4 juin. Il contient la mention d’une
« enquête » dont j’ai toutes les raisons logiques d’être convaincu qu’elle
n’a jamais eu lieu ; du moins selon les critères professionnels, honnêtes ;
ceux d’une enquête judiciaire.
4-
Le 24 juin, je dépose :
a-
Une plainte contre X pour faux en écriture publique au sujet de cet Avis de
classement du 30 ma 2014i, auprès de M. le procureur de la République.
b-
Un Appel concernant cet Avis auprès de M. le procureur général.
c-
Une QPC auprès de M. le procureur général.
5-
Le 27 juin, pour accompagner ces demandes et obtenir légitimement un avocat, je
dépose une demande d’AJ auprès du BAJ, au sujet de :
1-
La plainte concernant l’Attestation
2-
La plainte contre X visant un Avis de classement délivré par le Parquet
3-
L’Appel interjeté pour cet Avis
4-
La Question prioritaire de constitutionnalité que soulève cet Avis.
Ces
quatre demandes du 27 juin sont les seules demandes d’AJ déposées par mes soins
auprès du BAJ.
6-
Le courrier du 30 juin 2014
Le
30 juin, j’ai adressé un courrier à M. le procureur général et à M. le
procureur de la République.
Il
s’agit simplement de dire que la mise en examen d’un haut magistrat change les
rapports publiques et moraux des justiciables avec les magistrats.
« Je
ne dis pas que cela prouve quoi que ce soit de ce que j’avance pour justifier
les deux plaintes pour faux et usage de faux en écritures publiques que j’ai
déposées ; visant les services judiciaires du Parquet et du Tribunal de
Grande Instance (TGI).
Par
contre, ces faits judiciaires interdisent désormais d’opposer à mes
affirmations l’argument d’autorité de l’évidence de l’indépendance de la
magistrature, dont l’honnêteté est une donnée.
Il
est un fait judiciaire officiel, public, que l’honnêteté, l’honneur, la
droiture, professionnelles, de magistrats, d’avocats, peuvent être mises en
doute et questionnées par voie de justice.
Il
faut maintenant répondre au questionnement de M. Salomone sur le dossier et sur
le droit. Il faut cesser d’user de faux pour lui interdire l’accès au droit et
aux services d’un avocat, condition première du dialogue juridique. »
Dans
ce texte, je réitère donc ma volonté d’obtenir un avocat et la nécessité que
cela se fasse. Mais, je ne dépose pas de demande.
4)-
Les nouvelles Attestations fautives
1-
Une enveloppe reçue le jeudi 10 juillet et datée du lundi 7 juillet, contenant
une lettre datée du jeudi 3 juillet.
2-
Trois enveloppes reçues le vendredi 11
juillet.
a-
Une enveloppe datée du lundi 7 contenant une lettre datée du jeudi 3 juillet
b
Deux enveloppes datées du mardi 8, contenant deux lettres datées du vendredi 4
juillet.
Les
dates sur les enveloppes sont faites à la machine de bureau. Il se peut très
bien qu’elles aient été faites au Palais de justice. Ce qui explique la
possibilité d’envoyer l’enveloppe datée du lundi 7 avec les deux enveloppes
datées du mardi 8.
Ces
quatre lettres sont identiques, seules changes les dates de leur écriture.
Ces
quatre lettres sont des « Attestations de dépôt d’une demande d’aide
juridictionnelle. »
Outre
les formules obligatoires il y est écrit :
1- A RAPPELER DANS TOUTE,
CORRESPONDANCE
Numéro BAJ : 20141034867
Section - Division : 1 - 09
Date de la demande :30/06/2014
2- ATTESTATION DE DÉPÔT
D’UNE DEMANDE D’AIDE
JURIDICTIONNELLE
Le secrétaire du bureau d'aide
juridictionnelle atteste que :
Monsieur SALOMONE Marc Marcel
Victor….
a déposé le 30/06/2014 une
demande d'aide juridictionnelle, pour une procédure contre :
LE SECRETAIRE DU BUREAU
Seules changes les dates
d’écriture de ces courriers:
a- Dans les deux enveloppes
datées du lundi 7 : « Paris, le jeudi 3 juillet 2014 »
b- Dans les deux enveloppes
datées du mardi 8 : « Paris, le vendredi 4 juillet 2014 »
Mais trois enveloppes sont reçues
le vendredi 11 ; dont l’une datée du lundi 7.
Il
est possible de penser que :
1-
Les deux lettres datées du jeudi « 3 juillet 2014 » sont rédigées en
rapport avec les deux demandes d’AJ pour accompagner les deux plaintes pour
faux :
a-
La plainte pour le faux de l’Attestation du 29 avril.
b-
La plainte pour le faux de l’Avis de classement du 30 mai.
2-
Les deux lettres datées du vendredi « 4 juillet 2014 » sont rédigées
en rapport avec les deux demandes d’AJ pour accompagner :
a-
L’appel concernant l’Avis de classement du 30 mai.
b-
La QPC
Il
serait intéressant de savoir pourquoi ces courriers identiques ont des dates de
compositions distinctes ainsi que des envois distincts. Ainsi, deux courriers
datés du 3 juillet sont envoyés séparément, le 7 et le 8 juillet 2014.
Ces
distinctions de dates et d’envois sont des questions administratives qui ne
changent rien à l’unicité de leur composition. En effet, les identités de faux
et de texte font apparaître que ces Attestations n’ont pas été traitées
distinctement mais d’un seul bloc, d’une seule décision.
5)-
La datation fautive
A-
La date de référence
La
date de référence est celle du document auquel le BAJ se réfère pour statuer.
Ici, il s’agit de donner acte d’un dépôt de demande.
Cette
date de référence est indiquée à deux endroits du textes.
a-
Dans la formule juridique :
- « a déposé le 30/06/2014 une
demande d'aide juridictionnelle, pour une procédure contre : »
b-
Dans la formule de correspondance :
- « A RAPPELER DANS TOUTE,
CORRESPONDANCE…Date
de la demande : 30/06/2014 »
Le
BAJ pourrait dire que cette date est celle de l’arrivée de la demande au BAJ.
Sauf que cette hypothèse de datation ne correspondrait pas aux pratiques
habituelles du BAJ, du TGI ou du Parquet.
En
effet, la date de référence des courriers reçus, dans tous les courriers de
réponse officielles, sont les dates fixées sur les lettres reçues et non les
dates de leur réception.
a-
TGI : « Votre courrier en date du 21 avril 2014 a retenu
l’attention de Madame la Présidente qui m’a chargé de vous répondre. »
b-
Parquet : « « Plainte/dénonciation en date du 3 février
2014 »
c-
BAJ : « A déposé le 17.04.2014 une demande d’Aide juridictionnelle,
pour une procédure contre : PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE ».
A
chaque fois, la date indiquée correspond à la date indiquée sur le courrier de
référence et non à une date de réception du courrier.
Or,
les quatre demandes d’AJ sont datées du 27 juin et non du 30 juin. La fausse
date retenue ne peut donc relever d’une pratique règlementaire ; C’est une
falsification.
Dans
le faux précédent commis par le BAJ, celui du 29 avril, le texte était faux
mais la date était exacte. Dans ce faux, le texte est un faux par manipulation du
motif de la demande et la date est aussi un faux par manipulation de la date.
C-
Les quatre faux volontaires
Il
y a eu consciemment changement de la date d’écriture de la demande reçue. Ce
changement est sans équivoque puisqu’il est inscrit à deux endroits distincts
du texte. C’est une tromperie, une fraude.
Les
dates des quatre Attestations sont fausses.
6)-
Les motifs
Les
quatre motifs ou visées de la demande, inscrits dans l’Attestation, sont
identiques et faux. Il est inscrit : « contre : ». Il n’est
rien écrit = néant.
A-
La précision de la demande
Or,
le motif de la demande, tel qu’il est inscrit dans les courriers, est toujours
très précis :
a-
« 2)- L’affaire / 1- La QPC »
b-
« 2)- L’affaire / Le 10 juin 2014, j’ai déposé une plainte contre X pour
faux et usage de faux en écriture publique. »
c-
« 2)- L’affaire / Le 24 juin, j’ai déposé une plainte contre X pour faux
et usage de faux en écriture publique. »
d-
« 2)- L’affaire / 1- L’Avis de classement
Cette
demande d’AJ pourra sans doute être regroupée avec celle concernant la QPC
déposée 24 juin 2014 auprès de M. le procureur général. »
B-
L’ordinaire des qualifications
Lors
de l’Attestation du 29 avril, le BAJ a bien su écrire :
« Contre : PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE ». Donc, le BAJ ne peut
dire qu’il est gêné par une qualification quelconque.
De
plus, une demande d’AJ concerne un Appel, une autre concerne la QPC. Cela ne
pose aucune difficulté et se fait tous les jours.
C-
Le faux est établi.
C’est
donc bien un acte volontaire, une décision, collective qui plus est, de réduire
à néant toute qualification de la demande d’AJ qui motive le renvoi au néant
des motifs de cette demande d’AJ de la part de M. Salomone.
7)-
La ruse et le mépris
a-
l’attente
Cette
double falsification d’un document administratif (date et motif), sa répétition
à l’identique sur quatre documents, relève de la ruse et des effets escomptés
de celle-ci.
b-
Le mépris
Il
ne faut pas perdre de vue que ces gens méprisent M. Salomone, au même titre
qu’ils méprisent tous ceux qui n’ont pas le statut social suffisant pour
prendre eux-mêmes un avocat. Ils dénient à ces gens le droit de se préoccuper
de la vie publique tout aussi bien que de contester aux cadres de violer les
personnes vulnérables et d’asservir et de spolier les handicapés mentaux. Il va
de soi pour eux que M. Salomone va se taire.
c- La
ruse
Si la
ruse est dénoncée, il est facile de dire qu’il s’agit d’une erreur.
Si le
demandeur est naïf, il croit lui-même qu’il s’agit d’une erreur et il se
contente de la signaler par lettre ou de penser qu’elle sera corriger d’office.
Sauf,
que ce sera ce texte qui sera retenu comme la demande. Le reste est affaire de
labyrinthe bureaucratique.
d-
Le rôle du néant
Ceci
explique cela : Le 30 juin, M. Salomone n’a déposé aucune demande d’AJ.
Aucune. Par conséquent, il ne peut y avoir de visée de la demande. D’où le
néant en lieu et place d’un nom de personne visée.
Le
néant en lieu et place d’un nom vient aussi du fait que le BAJ a reçu non pas
une mais quatre demandes.
Le
néant signale donc que le BAJ ne peut répondre à l’une d’entre elles sans citer
la date exacte et sans prendre en charge les trois autres.
Par
le néant et le déplacement de date, le BAJ feint de rassembler les quatre
demandes d’AJ en une seule qu’il ne serait pas nécessaire de qualifier.
Le
moment venu, il sera toujours possible de faire une réponse en bloc, à charge
pour le demandeur de contester du « néant ». C’est au minimum cinq
ans de procédure pour rien.
C’est
une tromperie volontaire et organisée.
8)-
L’obstruction concertée
Il
se trouve que le 30.06.14 est la date de l’envoi d’une lettre de M. Salomone à
M. le procureur général et M. le procureur de la République.
Par
conséquent, il est crédible de penser que la date du 30.06.14 fait référence à
la lettre adressée aux magistrats du Parquet et du Parquet général
Ce
qui suppose que le courrier du Parquet a été communiqué au TGI qui dirige le
BAJ. Il y a eu alors discussion et entente entre le siège et le parquet pour
empêcher M. Salomone d’obtenir l’AJ totale et les conseils d’un avocat.
Cette
hypothèse donnerait un certain éclairage sur le fonctionnement de l’institution
judiciaire
La
réponse globale et les falsifications répétées seraient alors le résultat d’une
répartition du travail pour conduire l’action du gêneur sur une voie de garage.
Ces gens ne peuvent plus jouer la comédie de la séparation des instances, des
services, des fonctions, etc.
Dans
cette hypothèse, les membres du BAJ reçoivent dans une même enveloppe quatre
demandes d’AJ. Toutes les quatre datées du 27 juin 2014. Après concertation
avec le TGI, le Parquet, le Parquet général, ils décident de falsifier la date
et de créer une illusion de réponse qui prépare une réalité :
1-
De réponse négative
2-
D’incapacité du demandeur à orienter son Appel.
3-
En effet, Appel contre le refus de quelle demande ? La date est fausse,
l’objet de la demande est vide ; l’Appel est appelé à tomber dans le vide.
Que
cette hypothèse soit la bonne où qu’il y ait une autre vérité, avec ces fausses
dates et ces faux motifs, nous sommes
dans le montage astucieux visant à faire obstruction à la justice.
9)-
Le bilan
Tous
ces faux donnent à croire que les magistrats sont déjà parvenus à la conclusion
que les faits rapportés par Mme Guillaume sont exacts.
Il
est manifeste qu’on n’a rien à opposer en droit aux demandes de M. Salomone.
Comment refuser la présence d’un avocat dans un débat judiciaire ? Alors,
on falsifie, on insulte, on méprise ; en guettant le moment de détruire.
Je
ne sais pas comment je vais payer mes impôts cette année. En effet, je suis
passé de 1350e/M en 2013 à 879e/M. en 2014, du fait de ma mise à la retraite
d’office pour «inaptitude au travail ». Or, je paie en 2014 sur les
revenus de 2013. Idem pour le loyer qui prend désormais 55% de mes revenus.
Donc,
la situation n’est pas simple. Mais, en tout cas, je ne les paie pas pour
que :
a-
Des fonctionnaires commettent des faux ; comme je l’ai toujours vu faire
d’ailleurs.
ba-
Des proxénètes fassent passer le paiement d’une passe de leur pute pour la subvention
à la création d’un musée.
bb-
Il s’agit dans les faits d’une turlutte à cinq millions d’euros payée par le
Trésor public sur ordre des proxénètes.
bc-
Il y a une action proxénétique collective. M. Sarkozy n’est pas seul à mettre
en branle ce dispositif de transfert de fonds.
c-
Du fait de l’exercice de leurs fonctions réciproques ; le représentant du
Pouvoir exécutif asservisse une représentante du Pouvoir législatif en la
plaçant à genoux devant lui pour lui faire une fellation contre paiement et acquérir
ainsi le statut professionnel d’une prostituée dite
« occasionnelle ».
Conclusion :
Je
rappelle que ces faux ont pour but de dévier le débat judiciaire en créant des
affaires dans les affaires et en m’obligeant à porter les plaintes latérales
qui permettent de sortir du débat principal qui est l’obtention d’un avocat
pour accompagenre la demande d’ouverture d’enquête préliminaire concernant les
faits rapportés par Mme Guillaume.
Je
dépose plainte contre x, pour les quatre Attestations identiques et produit
d’une seule décision, pour récidive de faux en écriture publique, obstruction
volontaire et coordonnée à la justice, manipulation de procédures judiciaires
en vue d’empêcher la nomination d’un avocat aux fins d’empêcher l’étude d’un
crime présumé.
Puisqu’on
a affaire à un ouvrier retraité sans avocat, toutes les illégalités sont
permises.
Je
vous prie d’agréer, Monsieur le procureur de la République, l’assurance de mes
salutations distinguées,
Marc SALOMONE
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