Paris le jeudi 3 juillet 2014
Monsieur le Bâtonnier,
Ordre
des Avocats à la Cour de Paris
11,
place Dauphine
75053
Paris CEDEX 01
Tél. :
01 80 27 19 20
Affichage public
officiel de la Mairie de Paris
« Ce n’est pas
parceque vous n’avez pas de logement
que vous n’avez pas droit à un avocat ».
« On a tous droit
au droit »
Barreau Paris
Solidarité
Avocatparis.org.
Note : Depuis le 19 juillet
2012, tous les textes de cette affaire sont sur le blog :
madic50.blogspot.com.
Copie à :
M. le Président de la République
Mme la Garde des Sceaux
Mmes M. les Députés
Mmes M. les Sénateurs
M. le Président du Conseil
Constitutionnel
Monsieur le procureur de la
République
Monsieur le Bâtonnier,
Votre déclaration sur « les
écoutes à filets dérivants » fait de vous un acteur de l’aventure
judiciaire de M. Sarkozy.
J’ignore donc jusqu’où va votre
neutralité dans les affaires qui le concernent, en particulier celle pour
l’évocation de laquelle je demande la nomination d’un avocat par le Bureau
d’aide juridictionnelle (BAJ) ; la seule qui me préoccupe et dont j’assume
le déroulement.
J’ai pris l’habitude d’être au
mauvais endroit au mauvais moment.
Un jour, un inspecteur de police
m’a dit : Mais pourquoi vous adressez vous à nous si vous pensez de nous
ce que nous savons que vous pensez ?
Je lui ai répondu : Mais
parceque vous êtes le représentant des Pouvoirs publics. Ce que vous faites
réellement n’y change rien.
Je dois m’adresser au Bâtonnier,
car il est le seul qui puisse traiter d’une double obstruction, par l’Etat et
par le Barreau, à l’accès au service d’un avocat pour un ayant droit de l’Aide
juridictionnelle (AJ). Etre un tel ayant droit signifie l’incapacité et
l’interdiction financière d’avoir recours à tout autre mode de désignation d’un
avocat.
En effet :
a- Les organismes d’Etat
compétents vont jusqu’à commettre des faux pour m’empêcher d’avoir l’Aide
juridictionnelle.
b- Les avocats gratuits refusent
toute discussion professionnelle.
Le texte qui suit est la
présentation de cette question.
Première partie :
L’historique
1- Le 10 avril 2014, j’ai eu
l’honneur de vous adresser un courrier pour solliciter votre intervention
auprès de M. le procureur de la République pour que j’aie l’Aide
juridictionnelle (AJ) totale.
Cette AJ permettra :
a- Que je bénéficie des conseils
d’un avocat dans la demande d’ouverture d’une enquête judiciaire que j’ai
déposée depuis le 19 juillet 2014 concernant les informations rapportés par Mme
Guillaume dans son livre Le Monarque, son fils, son fief.
b- Que s’ouvre l’espace de ce que
les journalistes appellent un dialogue apaisé.
Je m’adressais à vous en ces
termes :
- « Les magistrats
refuseront toujours de traiter de ces questions avec une personne, un pauvre,
qu’ils méprisent. Je les ai déjà vus à l’œuvre dans des affaires de viols et
d’agressions de personnes vulnérables ou handicapées mentales.
Pourquoi n’ai-je pas
d’avocat ? J’ai toujours essayé de faire en sorte que des juristes parlent
aux juristes. Le problème est qu’en dessous d’un certain niveau social
financier on n’a plus accès aux avocats, ni aux magistrats d’ailleurs, comme le
montre cette démarche.
C’est trop et trop peu. Pour
qu’il y ait un avocat, il faut que M. le procureur de la République décide que
j’aie l’Aide juridictionnelle totale. C’est possible, légal.
Il ne le fera que si le Bâtonnier
le lui demande formellement. Il le ferait aussi à la demande de Mme la Garde
des Sceaux. Vous avez la possibilité de vous adresser à elle et d’être entendu,
moi pas.
Il faut donc que vous statuiez
sur les droits de justiciables pauvres à être représentés, dans une affaire d’intérêt public, à égalité
avec les justiciables aisés et que vous fassiez part de vos conclusions à M. le
procureur de la République, voire à Mme la Garde des Sceaux. »
2- Le 14 avril, vous m’avez fait
répondre :
- « Le Bureau d’Aide Juridictionnelle dépendant du tribunal de
grande instance, Monsieur le Bâtonnier ne peut intervenir auprès de celui-ci.
L’AJ est accordée lorsque le procédure à engager n’est pas
manifestement irrecevable ou dénuée de fondement (article 7 de la loi du 10
juillet 1991) et lorsque le justiciable a des revenus inférieurs au plafond
d’aide légale (ci-joint document concernant les revenus). »
3- Le 17 avril, j’ai déposé ma
demande d’Aide juridictionnelle au Bureau d’Aide juridictionnelle (BAJ) :
- « Pour ces raisons, de
citoyenneté, d’expérience, de droit, d’égalité, je demande l’aide
juridictionnelle totale afin d’avoir le bénéfice des services d’un avocat et
que soit assurée la bonne marche de la justice. »
4- Le 21 avril, fort de vos
informations, j’ai écrit à Mme la Présidente du Tribunal de grande Instance
(TGI) pour solliciter sa vigilance à l’égard de la ségrégation sociale possible
par le BAJ :
- « En conséquence, M. le
Président, je vous prie de bien vouloir veiller à ce que la ségrégation sociale
ne serve pas de norme judiciaire et que je puisse disposer d’une Aide
juridictionnelle totale qui me permette de bénéficier des services d’un
avocat. »
Ce n’est pas de votre fait que j’ai
déposé ces deux derniers courriers, en aucun cas. C’est dans la suite de la
réflexion que votre courrier a instruite.
Ils m’ont valu chacun une réponse
dont je pense qu’elles sont liées et que la première conditionne la seconde.
5- Le 25 avril, M. le
Vice-Président du TGI me répond :
« Votre courrier en date du
21 avril 2014 a retenu l’attention de Madame la Présidente qui m’a chargé de
vous répondre.
Vous avez indiqué que vous
souhaitez bénéficier de l’aide juridictionnelle tout en invoquant divers
éléments ayant trait à l’ancien président de la République, notamment des
infractions pénales, imaginaires ou supposées pour lesquelles vous n’avez
juridiquement aucun intérêt à agir, n’étant pas à priori victime du crime de
viol dont vous faites état et qui serait imputable au chef de l’Etat.
En revanche, si vous souhaitez
porter plainte pour des faits vous concernant directement, je vous invite à
vous rendre au commissariat de police ou d’écrire au Procureur de la République
ou de consulter un médecin psychiatre.
Copie : bureau d’aide
juridictionnelle de Paris »
a- Il est patent que l’instance
d’Appel du BAJ donne à celui-ci l’ordre de clore le dossier avant qu’il l’ait
étudié. La forme personnelle du courrier est là pour sortir ce courrier de la
procédure et ne pas créer un bug judiciaire.
b- M. le Vice-président sauve les
apparences en écrivant une lettre personnelle à vocation procédurale.
6- M. le Vice-président est
exaucé :
Le 29 avril 2014, le BAJ me
répond :
« ATTESTATION
DE DEPOT D’UNE DEMANDE D’AIDE JURIDICTIONNELLE
Le
secrétaire du bureau d’aide juridictionnelle atteste que :
Monsieur
Marc SALOMONE
A
déposé le 17/04/2014 une demande d’aide juridictionnelle, pour une procédure
contre :
PROCUREUR
DE LA REPUBLIQUE
LE
SECRETAIRE DU BUREAU »
Le BAJ n’a manifestement aucune
raison professionnelle de clore le dossier et pourtant il en a l’ordre. Il crée
l’Attestation sans risque qui rend la demande nulle par elle-même.
a- Si ça tourne mal, c’est une
erreur de la secrétaire.
b- Si ça roule, Le BAJ peut dire
qu’il n’a pas trouvé pertinente l’argumentation de M. Salomone contre M. le
procureur de la République.
La demande d’AJ est alors
déclarée « dénuée de fondement ». CQFD. (J’ai déjà eu le coup)
Sauf que M. Salomone n’a jamais
déposé contre M. le procureur de la République. C’est donc un faux et usage de
faux en écriture publique.
7- Le 3 mai, M. Salomone adresse
une protestation à M. le Président de la République et Mme la Garde des Sceaux,
concernant le faux du BAJ et la lettre de M. le Vice-président du TGI.
8- Le 9 mai et le 26 mai, M.
Salomone analyse minutieusement la lettre du 25 avril de M. le Vice-président
et le faux du 29 avril du BAJ.
9- Le 27 mai, M. Salomone écrit
aux parlementaires, par mail.
- « Je demande simplement aux députés et aux sénateurs
de faire savoir au BAJ leur souci du respect de la loi et de la possibilité que
les juristes discutent de ce viol entre eux. »
Les parlementaires ne m’ont pas
répondu mais ils ne sont probablement par restés silencieux avec les autorités
judiciaires. Il me semble que l’Avis de classement de M. le procureur de la
République en découle directement.
10- Le 30 mai (posté le 4 juin et
reçu le 11 juin), M. le procureur de la République rend un « Avis de
classement ». Il l’établit par rapport à l’avant-dernier texte de rappel
qu’il a reçu. Le 38ème. Les 37 précédents ne l’avaient pas ému le moins du
monde.
Il écrit :
- « « Plainte/dénonciation en date du 3 février 2014.
Faits : Abus d’autorité. Autres affaires non pénales.
Avis de classement
L’examen de cette procédure ne justifie par de poursuite
pénale au motif que :
Les faits ou les circonstances des faits dont vous vous êtes
plaint n’ont pu être clairement établis par l’enquête. Les preuves ne sont donc
pas suffisantes pour que l’affaire soit jugée par un tribunal. »
Pas plus que le BAJ, il ne trouve
le moindre argument de droit pour classer sans suite. Il lui faut passer par
une « enquête ». C’est imparable une enquête. On y met ce qu’on veut.
Encore faut-il qu’elle ait lieu. Ce
dont je conteste l’évidence.
11- Le 3 juin, M. Salomone
adresse une lecture juridique de la lettre de M. le Vice-président du TGI et du
BAJ, à M. le procureur de la République.
12- Le 6 juin, M. Salomone
adresse une lettre de protestation, en Recommandé avec Accusé de Réception
(RAR), à Mme la Garde des Sceaux au sujet de la lettre du 25 avril de M. le
Vice-président du TGI et du faux du BAJ.
13- Le 10 juin 2014, M. Salomone
dépose une plainte contre X pour :
- « Objet : Plainte
contre X pour faux en écriture publique et abus de pouvoir pour une obstruction
astucieuse à l’action de la justice. »
Elle concerne ce faux de
l’Attestation du 29 avril produite par le BAJ.
14- Le 11 juin, M. Salomone
reçoit l’Avis du 30 mai de M. le procureur de la République.
15- Le 27 juin, à la lecture de
l’Avis de classement du 30 mai, M. Salomone :
1- Fait Appel de l’Avis qui
repose sur un mensonge et ne contient autre argument, ni de fait ni de droit.
2- Pose une Question prioritaire
de constitutionnalité pour rupture d’égalité et prise de parti par M. le
procureur de la République pour un Pouvoir contre un autre.
3- Dépose une plainte contre X
pour faux et usage de faux concernant l’Avis.
16- Le 27 juin, M. Salomone
dépose une demande d’AJ pour :
- La plainte visant le faux du
BAJ
- La plainte visant le faux du
parquet
- L’Appel de l’Avis de classement
- La QPC
17- Le 30 juin et le 1er juillet,
M. Salomone adresse à M. le procureur général et M. le procureur de la
République un commentaire de l’actualité judiciaire. Je relève que les
magistrats par leurs procédures ordinaires ont mis fin à l’évidence de la
virginité des magistrats.
Deuxième partie : La place
des avocats
Chacun comprend que tout cela ne
serait pas arrivé si les différents intervenants avaient eu un avocat comme
interlocuteur.
La présence d’un avocat n’est pas
seulement un avantage technique. C’est un droit d’ordre constitutionnel pour le
fonctionnement légal de l’institution judiciaire.
Comment se fait il que ce ne soit
pas le cas et comment la question se présente t’elle ?
1)- L’obstruction venant des
avocats
Le texte de l’Appel adressé à M.
le procureur général contient le récit de ma dernière consultation d’avocat au
Palais de justice.
Il permet aux professionnels de
se faire une idée de la question constitutionnelle à laquelle je me heurte en
matière d’accès au droit, dont l’accès à l’avocat est une partie essentielle.
La voici :
CITATION
« 5)- Les avocats et le droit constitutionnel
Avant de poursuivre, je veux « clairement
établir » pourquoi je ne m’adresse pas à vous par le truchement d’un
avocat. C’est en effet une question judiciaire.
1- La dernière demande de Conseil
Ce qui suit ne doit nullement être pris comme une critique
de ce qu’à fait l’avocate concernée. Elle a fait ce que font tous les avocats
contactés, soit par les consultations gratuites (en car), soit par mail.
J’essaie d’être fidèle à ce qui s’est dit cette fois-ci,
identique à ce qui se passe à chaque fois.
A- Le récit
Le mercredi 11 juin, je reçois l’Avis de classement.
Le jeudi 12 juin, je vais à la consultation gratuite
organisée par le Conseil de l’Ordre, au Palais de justice de Paris.
Je suis reçu à 10h. Je suis reparti à 10h 05.
« MS : présente l’Avis et le texte du 3 février
dans des caches plastiques.
L’avocate écarte l’Avis et se saisit du texte.
A: C’est cela qui m’intéresse.
Elle commence à lire.
A : Qu’est ce que c’est ça ? Sarkozy à
violé ? Non ça je refuse. C’est du charlatanisme. Je n’ai pas de temps à
perdre avec ça.
Elle rassemble les feuilles et les remet immédiatement dans
le cache plastique.
Elle se lève pour signifier la fin de l’audience.
Elle m’interpelle :
A- Sarkozy vous à violé ?
MS : Mme Guillaume dit qu’il a violé une députée.
A- Mais vous, en quoi êtes vous lésé ?
MS : Je suis lésé parceque le viol d’une députée par le
Chef de l’Etat est l’agression du Pouvoir législatif par le Pouvoir exécutif.
Il y a eu aussi un détournement de fonds publics.
A- Il a violé la députée en détournant les fonds
publics ?
Prenez garde Monsieur, vous prenez de très gros risques en
portant plainte pour viol contre un ancien Chef de l’Etat. Vous n’imaginez pas
les risques que vous prenez. M. Sarkozy peut se retourner contre vous. Arrêtez
tout pendant qu’il en est encore temps.
MS : Je n’ai pas porté plainte contre M. Sarkozy pour
viol.
A- Qu’avez-vous fait alors ?
MS : Mme Guillaume a dit dans son livre, Le Monarque,
son fils, son fief, que M. Sarkozy avait contraint une députée à lui faire une
fellation. Je demande à M. le procureur de la République de nous dire ce qu’il
en est en droit.
A- Mais pourquoi cette Guillaume n’a pas porté
plainte ?
De toute façon, en France, jusqu’à présent chacun fait ce
qu’il veut de son corps.
Surtout, Monsieur, prenez garde, faites très attention à ce
que vous faites. »
Je pense avoir restitué la scène convenablement.
B- Le dol judiciaire
Contrairement aux légendes, il en va ainsi chaque fois qu’il
s’agit d’un viol. J’ai été violé deux fois, j’ai une expertise sur le sujet. A
chaque fois, je me suis fait mettre à la porte au bout de trois minutes
d’audience.
Ce qui me lèse dans cette affaire, c’est que j’ai droit à
une consultation gratuite comme tout le monde et en fait je ne m’y rends que
pour écouter les terreurs des avocats et non leurs conseils juridiques. Ce fut
déjà le cas pour un conseil que j’ai payé lors du premier viol que j’ai subi.
Je voulais demander des renseignements juridiques sur
l’Avis. Sa signification, sa légalité, les délais d’Appel, ce qu’il fallait
faire, etc.
Une fois de plus, j’ai dû écouter la panique des avocats dès
qu’il s’agit d’une affaire de viol qui sort du modèle associatif.
C- La question constitutionnelle
Le 29 avril je reçois l’Attestation du BAJ. C’est un faux.
Cela signifie d’abord que je n’aurai pas d’AJ et donc pas
d’avocat.
Le 11 juin, je me rends à la consultation gratuite organisée
par le Conseil de l’Ordre. On ne peut pas dire qu’elle n’engage pas la justice.
Au bout de 5 minutes je me fais virer au motif qu’on n’accuse par M. Sarkozy de
viol. Ça ne se fait pas.
Le résultat de cette suite est que je ne peux pas disposer
des conseils d’un avocat.
Or, c’est un droit constitutionnel.
C’est pour le respect de ce droit constitutionnel que le
gouvernement à constitué le BAJ et que l’Ordre des avocats a ouvert ces
consultations gratuites. Même si on précise que leur rôle est surtout une
fonction d’orientation, le fait que la seule direction indiquée soit la porte
constitue un refus de conseil.
Refus par le BAJ
Refus par le Conseil de l’Ordre des avocats.
C’est en effet un problème judiciaire de nature
constitutionnel.
D- La solution
En France, ce n’est pas un problème, puisque comme me l’a
dit, dans son bureau et en consultation, mon avocat au sujet du premier viol
que j’ai subi :
- « Une affaire dont on ne parle pas n’existe pas. On
ne va plus parler de ce viol et il n’existera plus. ». Il était payé.
Puis, il s’est allié en bonne et due forme : à la
police judiciaire, au Parquet, au Siège, au Bâtonnier.
J’ai eu 48h pour vendre mes meubles et quitter la région. »
FIN DE CITATION
2)- La mise en garde
Je m’arrête un instant sur la
mise en garde de l’avocate du Palais. Elle n’est pas la première à me mettre en
garde concernant une plainte pour viol.
Le lecteur va comprendre que je
ne néglige nullement l’avertissement de cette avocate et je la remercie de sa
sollicitude.
A- Les « forts » et les
« faibles » et « l’intérêt à agir »
Dans son courrier du 25 avril en
réponse sur le champ à mon courrier du 21 avril, M. le Vice-président du TIG,
au nom de Mme la Présidente, déclare que je n’ai pas « intérêt à
agir » parceque je ne suis pas violé. J’ai répondu sur le fond à ses
manipulations des faits.
Sous ce prétexte, il me menace de
torture psychiatrique.
Il est faux de dire que le rejet
des plaintes pour viol et les tortures qui peuvent accompagner ce rejet ont
quoi que ce soit à voir avec « l’intérêt à agir » du plaignant.
Ce rejet a lieu y compris lorsque
la personne demandeuse est la personne violée elle-même. Les femmes en savent
quelque chose.
Quel est le critère judiciaire et
administratif de ce rejet ?
Ce cas de figure est celui ou une
personne ou groupe de personnes reconnues socialement fortes violent une
personne reconnue socialement faible. Les « faibles » ne peuvent
questionner la justice sur les « forts ».
Que ces dernières années, les
critères administratifs de « force » et de « faiblesse »
aient été profondément remaniés ne retire rien à leur pertinence.
Une handicapée mentale est
« faible ». Les voyous sont « forts ». Donc, l’Etat
soutient les voyous contre les handicapés mentaux. Pour soutenir les voyous,
ses agents violent ceux qui soutiennent les handicapés, entre autre. Pour
discréditer juridiquement ces soutiens, ils les qualifient de malades mentaux.
A partir de cette qualification, aux yeux de tous les réseaux d’agents de l’Etat,
magistrats et avocats compris, tout est possible, à commencer par le faux. On
ne peut mieux dire l’abaissement juridique des handicapés mentaux dont le statut juridique aux yeux des
agents de l’Etat est comparable au statut de l’indigénat. C’est ça être
« faible ». Un colosse indigène est toujours plus
« faible » et moins
« fort » qu’un gringalet colon.
Les agents de l’Etat en sont
encore là.
B- Les ruses
J’ai été violé deux fois.
a- Par des propriétaires
millionnaires de la Côte d’Azur. Au titre de supposé communiste, homosexuel,
artisan pauvre.
b- Par des fonctionnaires.
Dans ce cas, le viol sert au
fonctionnement de l’association de malfaiteurs constituée entre des officiers
de police judiciaire et des voyous civils pour dépouiller et asservir des
malades mentaux.
M. le procureur de la République
répondra à mes plaintes (visant le viol et l’association de malfaiteurs contre
les handicapés mentaux) par la formation d’une nouvelle association de
malfaiteurs. Cette fois-ci l’organisation criminelle se passe entre magistrats
et policiers pour arrêter, enlever, torturer, le plaignant et annuler ses
plaintes.
Dans les deux cas, lorsque j’ai
voulu déposer plainte, j’ai d’abord subit l’obstruction, la persécution, puis
la procédure de mise en impasse. On m’a contraint à faire appel d’une décision
de refus d’AJ (alors que l’AJ est de droit en cas de viol). Et les magistrats ont
fait durer le plaisir jusqu’à la prescription.
Les magistrats interdisent
l’accès à l’AJ par des formules toutes faites confirmées en cascade. Ils
interdisent l’accès à la plainte avec constitution de partie civile en fixant
une prime de 2000 euros impayables par les pauvres.
Et le tour est joué.
Les magistrats, et les agents de
l’Etat, en sont toujours à la doctrine des Puissants et des Misérables, à la
lecture féodale du droit républicain.
C- Les parcours gestapistes
1- Le commun
C’est pourquoi, lorsque M. le
Vice-président, dans son courrier du 25 avril 2014, me menace d’une façon à
peine voilée de la gestapo psychiatrique, je me retrouve en terrain connu.
Dans les deux cas de viol que
j’ai subis, j’ai entendu un jour frappé à ma porte J’ouvre, les fonctionnaires
entrent en force. Je suis battu, insulté, attaché, enlevé, transporté en
psychiatrie.
Le récit de ces violences ont
fait beaucoup rire une journaliste du journal Le Monde :
- « Ha non, pas ça M.
Salomone ! Des policiers qui vous frappent. Nous ne sommes pas au
Mexique ! ». Eclat de rire au téléphone.
J’ai été torturé dans les deux
cas très précisément jusqu’à ce que je retire mes plaintes.
2- Je me souviens de ce
dialogue :
La Chef de service :
« Alors Monsieur Salomone et ces plaintes ? On nous nous le demande
tous les jours là-haut à la préfecture !.
Le médecin tortionnaire : M.
Salomone veut bien retirer sa plainte
La Chef : C’est vrai
Monsieur Salomone ?
M. S. : Oui
La Chef : Très bien, vous
sortez lundi. ».
Le lundi 13 novembre 2000.
3- Je pense que c’est la raison
pour laquelle je suis encore vivant. Torturer ou tuer la personne qui
questionne le Parquet au sujet de M. Sarkozy, après l’avoir déjà torturée pour
une plainte pour viol, ça fait beaucoup en Europe, même pour l’Etat français.
4- Des tentatives répétées sont
faites pour m’entraîner dans des lieux où il serait possible d’agir.
- En 2012, j’ai signalé à la
justice des coups de fils visant à me mêler à des histoires criminelles à mon
détriment.
- Le 23 juin 2014, j’ai encore eu
un appel de ce type.
Je commence à avoir une expertise
en ce domaine aussi.
D- Les responsables
Mais cela n’est pas spécialement
lié à l’affaire Sarkozy elle-même. C’est le cas général de la distinction des
Puissants et des Misérables.
Chaque fois que j’ai été torturé,
je sais de façon prouvée que c’est sur ordre et sous le suivi de M. le
procureur de la République et de M. le préfet. Les faux ont été visés par M. le
Commissaire principal.
A la longue, je me suis rendu
compte que les deux grandes formes politiques françaises ont été à l’œuvre et
se sont déployées.
1- Les partis encartés (20ème
siècle)
a- Les ordres sont donnés par les
fonctionnaires dirigeants dont les élections professionnelles indiquent qu’ils
votent majoritairement à droite.
b- L’exécution est réalisée,
volontairement, par des fonctionnaires subordonnés dont les élections
professionnelles indiquent qu’ils votent majoritairement à gauche.
c- J’ai été arrêté sur ordre
d’électeurs de l’UMP. J’ai été violé volontairement par des électeurs du PS ou
des Verts. J’ai été torturé en psychiatrie par des personnels votants à 80%
pour la CGT et Sud, donc peut être des électeurs communistes et Front de gauche.
2- Les partis idéologiques (19ème
siècle)
On pensait que ces « partis
idéologiques » (républicains, royalistes, etc.) avaient disparu. Ils font
un retour en force au 21ème siècles.
a- Les « femmes »
cadres (commissaires et cheffe de service psychiatrique) ont fait un faux en
prostituant leur titre de femme.
b- Les « noirs » se
sont servis politiquement de leur qualité de noir pour rendre service aux
blancs de fait et tenter de me tuer.
c- Les « juifs »
(médecins) ont couvert de leurs liens avec la Rafle pour organiser et couvrir
la torture.
d- Les « arabes »
(Médecins) ont mis leur réputation d’opprimé pour finaliser les tortures et les
faux.
e- Les « blancs » ont
commis le premier viol et supervisé les procédures.
f- Les avocats ont refusé de lire
les PV pour pouvoir les déclarer incontestables.
g- En arrière-plan, les syndicats
et les corporatismes sont le ciment de ces résurgences.
Comme allant de soi, chacun s’est
retrouvé à jouer son numéro de flute fasciste. Je le signale à grands traits car
la représentation publique du fascisme d’Etat est complètement imaginaire.
Je n’ai jamais eu affaire à des
« fascistes » mais toujours à des « républicains ».
Néanmoins ce qu’ils ont fait est du fascisme de filiation nazie de la plus
belle eau.
30% de détenus handicapés mentaux
à leur entrée en prison est une activité fasciste de filiation nazie et cela
relève de la jurisprudence de Nuremberg.
D- Le tribunal
Je sais aussi que je me suis
retrouvé deux fois face-à-face aux magistrats dans un tribunal. Les deux fois,
les procureurs de la République ont dû remballer leur camelote de faux et le
Président a dû me donner raison.
Dans un cas, les faux visaient à
soutenir les violeurs. Dans l’autre, les faux visaient à donner raison à un
voyou contre des malades mentaux. Dans tous les cas, il s’agit de détruire
physiquement et socialement les personnes gênantes, toutes des faibles.
Les agents de l’Etat ne m’ont
jamais contredit en ma présence. Ils ne le font qu’en dehors de ma présence ou
dans une situation gestapiste.
En effet, je ne néglige aucun
avertissement. Je sais à qui j’ai affaire.
3)- Les institutions
1- L’Etat a mis au point un
système de compensation financière permettant que les personnes en dessous de 936euros
par mois, ou victimes de crimes graves, disposent des conseils d’un avocat.
C’est l’Aide juridictionnelle (AJ).
a- Le Bureau d’aide
juridictionnelle (BAJ) commet un faux pour interdire l’accès de M. Salomone à
ce dispositif.
b- L’organisme judiciaire de
contrôle du BAJ est le Tribunal de Grande Instance (TGI).
2- Le Conseil de l’Ordre des
avocats a mis en place une consultation gratuite au Palais de justice et en car
circulant.
4)- Le fonctionnement de l’Etat
dans l’accès au droit
1- C’est précisément la
présidence du Tribunal de Grande Instance (TGI) qui désorganise la procédure,
intime astucieusement au bureau d’aide juridictionnelle (BAJ) l’ordre de clore
le dossier avant de l’avoir étudié et préempte la décision d’Appel avant que
celui-ci ait été formulé.
2- Le faux de l’Attestation du
BAJ n’est pas l’erreur de frappe d’un secrétaire. Il est une décision de la
direction après concertation.
5)- Le fonctionnement du Barreau dans
l’accès au droit
1- Le refus d’entendre
a- La diabolisation
L’avocate rejette les textes que
je lui présente dès qu’elle entend l’association des mots « Sarkozy »
et « viol ». Elle le fait dans un geste comparable à ceux des
croyants touchant un objet diabolique ou des populations craintives approchant
malgré elles une mise en cause du dictateur.
b- Le viol
Elle n’est ni la seule ni la
première.
C’est la troisième affaire de
viol à laquelle je suis confronté. Dont deux à Paris.
En province, l’avocat ma
carrément dit : « Une affaire dont on ne parle pas n’existe pas. On
ne va plus parler de ce viol, il n’existe donc pas. ».
A Paris, c’est dans cette même
guérite de consultation gratuite que vers 1995, je me suis fait sortir au bout
de deux minutes quand j’ai voulu parler de l’affaire de province.
Idem vers 2000 pour le viol
parisien.
Au début l’avocate m’avait même
dit : C’est une affaire sérieuse, je vais vous prendre hors de cette
rencontre.
Puis, elle s’est ravisée d’un
coup : Non, sortez !
c- La peur
En 2007, je dépose une demande
d’ouverture d’une enquête préliminaire concernant l’appartement de Neuilly de
M. Sarkozy.
Je n’ai su la différence entre
« plainte » et « demande… » que par le conseil d’un
magistrat instructeur.
Une avocate de Nanterre a eu la
gentillesse de me dire de demander un bon à l’Ordre pour avoir une consultation
à 30 euros.
Quand je suis arrivé à son
Cabinet, son associée l’a prise en retrait pour lui dire : « Moi, je
ne veux pas être associée à ça. Je n’ai pas envie de perdre tous mes
procès ».
Après deux formules de politesses
et de mises en gardes, j’ai été mis dehors fort courtoisement.
d- Les ténors
En 2007, un ténor du barreau ma
dit : « Ha, c’est vous ! Excusez moi, j’ai un avion à
prendre ».
J’ai contacté plusieurs ténors
qui affirment haut et fort n’avoir peur de personne. Ils sont tous très
occupés.
J’ai aussi contacté des avocats
annoncés comme militants, intransigeants. Occupés.
5)- Le bilan
J’ai donc, à la fois de part
l’Etat et de part les membres du barreau un sérieux problème d’accès au droit,
au conseil d’un avocat.
Il est manifeste que :
1- De la part de l’Etat
Dès que j’ai fait la démarche
pour disposer des conseils d’un avocat, les insultes, partis pris et surtout les
faux en écritures publiques se sont multipliés.
2- De la part des avocats
C’est l’obstruction verbeuse mais
tout aussi réelle.
6)- La place du Bâtonnier
1- Le bâtonnier ne peut se
préoccuper de
a- L’obtention de l’AJ
b- Des contenus des consultations
gratuites qui restent du domaine du secret professionnel
c- Des décisions du TGI
e- Des affaires particulières
2- Le Bâtonnier est concerné
lorsque :
1- Alors que le justiciable ne
peut payer les services publics d’un avocat
2- Les avocats gratuits refusent
de discuter professionnellement des procédures légales au profit de l’exposé
hystérique d’un discours idéologique, de leurs peurs, de leurs prises de
partie, etc.
3- La procédure de l’Etat se
ramène à la production de faux organisée pour interdire le fonctionnement des
lois permettant l’accès à l’avocat et donc au droit.
3- Le droit au droit, à l’avocat,
est mis en cause de façon institutionnelle, calculée, organisée.
3- La légalité
Nous sommes alors dans le refus
d’accès au droit et à l’avocat. C’est le droit constitutionnel à la
représentation juridique qui est en cause.
Il est permis de penser que le
Bâtonnier, au titre de représentant des avocats, est concerné par une
entreprise visant à priver un citoyen de tout accès à un avocat.
Il y a action collective fondée
sur :
a- Les préjugés sociaux et la
ségrégation sociale.
b- Les partis pris, politiques en
l’espèces
c- Ce qui est nouveau, c’est que
nous pouvons dire qu’il y a peut être aussi, dans les démarches officielles,
une intrusion militantes.
7)- Les réseaux d’influence
L’arrestation de deux hauts
magistrats, de l’avocat de M. Sarkozy, de M. Sarkozy, leur placement en Garde à
vue, la mise en examen d’un magistrat et d’un avocat, mettent définitivement à
bas l’évidence indiscutable de la moralité des personnels de justice.
Qu’ils soient innocents, ce que
je souhaite, ou coupables, ne change rien à la capacité du public de mettre en
doute désormais la probité personnelle de telles personnages à partir de faits patents.
De la même façon, l’affirmation
par les magistrats et enquêteurs de l’existence de réseaux d’influence et de
corruption dans la magistrature, interdit désormais d’en écarter le soupçon
lorsqu’il est logiquement pertinent.
8)- Les
conséquences
Il n’est plus
possible d’ignorer La possibilité de préoccupations extra-professionnelles dans
la rédaction :
a- De la lettre
du Vice-président, le 25 avril,
b- De
l’Attestation du BAJ, le 29 avril,
c- De l’Avis de
classement du 30 mai,
9)- Les affaires
Je ne me suis jamais soucié des
affaires autres que celle que je soulève qu’au titre d’éléments de réflexion
pour cette dernière.
Je rappelle que j’ai déposé cette
demande d’ouverture d’une enquête préliminaire le 19 juillet 2012. A ce moment
là, M. Sarkozy était considéré comme absolument intouchable pour tout ce qui
s’était passé durant son quinquennat présidentiel.
Les affaires telles que Tapi,
sondages, voire même Bygmallion, étaient tenues comme impossibles. Une décision
judiciaire déclarait que l’immunité absolue du Chef de l’Etat s’étendait à tout
ce qui se passait au Château. Par exemple, les sondages bénéficiaient
judiciairement de l’immunité.
J’étais seul, absolument seul, à
dire que les faits rapportés par Mme Guillaume n’entraient pas dans le cadre de
l’immunité présidentielle.
Par conséquent, nul ne peut
m’accuser de vouloir ajouter ma voix à celle des journalistes ou des juristes
qui aujourd’hui accumulent des faits ou supposés tels contre M. Sarkozy.
10)- La validité du
questionnement
La remarque de Maitre
Charrière-Bournazel, ancien Bâtonnier de Paris, à l’émission C dans l’air, le 2
juillet 2014, corrobore la pertinence juridique de mon travail.
M° Charrière-Bournazel dit :
« On corrompt pour obtenir quelque chose qui n’est pas dû et qui est
illégal. ». Il le dit parceque la mise en examen de M. Sarkozy, le 1er
juillet 2014 lui parait sujette à discussion.
A contrario, les faits rapportés
par Mme Guillaume ne sont pas sujet à discussion. Ils sont vrais ou ils sont
faux. Ils sont vérifiables.
D’après ses dires, M. Sarkozy aurait
exigé une fellation d’une députée qui était venue pour obtenir une subvention. La
fellation n’était pas due et sa substitution à la discussion de la subvention
entraîne une suite d’illégalités.
Nous sommes là dans la logique
juridique rappelée par M° Charrière-Bournazel. Le questionnement que je soumets
à M. le procureur de la République correspond donc bien à une vraie question de
droit.
Je l’ai baptisée mise en
prostitution, proxénétisme hôtelier, et, par voie de conséquence,
détournement de fonds publics et recel.
Quoi qu’il en soit, la
préoccupation de droit est valide :
1- M. le procureur n’est pas
fondé d’y répondre par l’évocation d’une « enquête » qui ne peut pas
avoir eu lieu.
2- Le BAJ n’est pas fondé de
commettre un faux pour empêcher la présence d’un avocat.
3- L’avocate gratuite n’était pas
fondée de s’emporter au lieu de m’écouter et de me renseigner juridiquement.
4- Il y a matière à une
interrogation juridique professionnelle.
Il ne faut pas oublier le conflit
des Pouvoirs. L’un ne peut abaisser l’autre légalement.
11)- Conclusion
Nous ne sommes pas dans le cas
d’un désaccord professionnel légitime entre un justiciable et une institution
ou des professionnels divers.
La présomption d’obstruction
volontaire à l’attribution de l’AJ à M. Salomone à des fins d’obstruction par
solidarité avec les personnes citées dans le dossier est consistante.
Il est crédible de penser que
c’est par le parti pris des responsables des institutions concernées que l’AJ
m’est refusée.
Il n’est plus possible d’ignorer
que les voies de recours légales sont peut être faussées par ceux qui les
conduisent.
a- A quoi sert-il de s’adresser
au BAJ quand celui-ci répond délibérément par un faux ? La production d’un
faux est une obstruction et non pas une décision.
b- A quoi sert-il de s’adresser à
M. le procureur de la République s’il invente des « enquêtes » qui n’ont
pas eu lieu pour classer le dossier ?
Dans les faits, ceux qui
reçoivent mes plaintes sont ceux qui en sont les sujets pour des fautes
possibles qu’ils auraient probablement sciemment commises.
Si j’avais un avocat, il jouerait
le rôle de tiers extérieur qui confronte chacun au droit et tous ces faux
n’auraient pas paru.
Le BAJ est prêt au faux pour m’en
empêcher et les avocats gratuits refusent de parler de droit.
La ségrégation sociale n’est pas
un argument de droit.
C’est pourquoi, je vous demande,
M. le Bâtonnier, de bien vouloir agir selon votre capacité auprès des
responsables concernés pour que cesse cette obstruction à l’attribution de l’AJ
totale qui m’est due.
La présence d’un avocat
est :
1- La seule garantie de la
légalité de l’action.
Le rythme de fabrication de faux
en écritures publiques montre que nous avons grand besoin d’un débat sur la
légalité des actes des uns et des autres.
2- La seule possibilité d’un
débat courtois.
Je vous prie d’agréer, Monsieur
le Bâtonnier, l’assurance de mes salutations distinguées,
Marc SALOMONE
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