salomone.marc@neuf.fr / Blog: madic50.blogspot.comMonday, June 4, 2018
To: Mr. Attorney of the Republic
Subject: The de-radicalization of public space and the people
Copy to:President of the Republic
The Prime Minister / The Minister of Justice / The Minister of the Interior
MM Presidents of Parliament /
MM Chairmen of parliamentary groupsThe President of the Court of Appeal / The Attorney General / The President of the TGI
Mr. Bâtonnier,
Mr Prosecutor of the Republic,
In
a television interview, you basically tell the French that the
government, of which you are part, is doing its best in the fight
against Islamism and its terrorism but that the impossible is not held.
You explain to us the whole panoply of the ideological and factual actions of the State against this terrorism.
On the other hand, there is something you never mention. It is the intervention of the people.
This intervention is called Liberty and especially Freedom of expression.
Not only do you not mention it but the magistrates fight it in a declared way by all the diversity of the legal action.
They meticulously destroy any mobilization of the French people by:
a- The opinion trials they co-sign with the communitarian associations.
b-
The lawsuits and proceedings against the police officers and the
gendarmes whose legitimate action is associated with the death or the
mutilation of the communitarian offender and recidivist delinquent.
c-
A cannibalization of French response capabilities to community
aggression by the notion of "legitimate defense" reduced to intellectual
and judicial sclerosis.
d- Disqualification of the 1905 law
By
pronouncing, almost simultaneously, the acquittal of two rapists of
children of 10 and 11 years of age, in separate trials, the judiciary
itself instituted the compatibility of Shariah, because it is about
this, and the law French.
The facts are, of course, much more diverse and attributable to various institutions.
I
am stopping there from some recent signs and specifically sent by
justice to the French people to threaten him and forbid him to speak and
act.
The
message has been well received and now the communitarians installed in
the university are publicly demanding that terrorism provoke the
transition to an "inclusive" policy, in other words at the end of the
indivisibility of the state.
To
pretend that democracy will be defended by sections of the people
qualified for this purpose to the exclusion of the people themselves can
only lead to situations in which the leaders of the state use
expressions that we hear today such that "We lost the battle of this-that".
It
is at this point that the government must now be brave enough to say
that those of our fellow citizens who engage in criminal activity in a
foreign country must be judged by the justice of this country; in other words, to govern.
Everyone
guesses, however, that he will have to negotiate with the support of
jihadism and allow the majority of these criminals to return.
They
will then support an indictment of France for having forced them to
leave by rejecting them and the vector of the policy of administrative
or community division of the State. It's already underway on television.
Indeed, there is reason to be pessimistic about a victory against Islamism but magistrates have their share.
Thanking you for your attention,
Please accept, Mr Prosecutor of the Republic, my best regards,
Marc SALOMONE
mardi, juin 05, 2018
05.06.18 procureur, terrorisme, islamisme, peuple, police, justice
Blog:
madic50.blogspot.com / salomone.marc@neuf.fr
Le
lundi 4 juin 2018
A
l’intention de : M.
le procureur de la République
Objet :
La déradicalisation de l'espace public et le Peuple
Copie
à :
M.
le Président de la République
M.
le Premier Ministre / Mme la Garde des Sceaux / M. le Ministre de
l'intérieur
MM
les Présidents du Parlement / MM les Présidents des groupes
parlementaires
M.
le Président de la Cour d'appel / M. le procureur général / M. le
Président du TGI
M.
le Bâtonnier,
Monsieur
le procureur de la République,
Dans
une interview télévisée, vous dites en substance aux français que
le gouvernement, dont vous faites partie, fait son possible dans le
combat contre l'islamisme et son terrorisme mais qu'à l'impossible
nul n'est tenu.
Vous
nous expliquez toute la panoplie des actions idéologiques et
factuelles de l’État contre ce terrorisme.
Par
contre, il y a une donnée que vous n'évoquez jamais. C'est
l'intervention du Peuple.
Cette
intervention s'appelle Liberté et notamment la Liberté
d'expression.
Non
seulement vous ne l'évoquez pas mais les magistrats la combattent de
façon déclarée par toute la diversité de l'action judiciaire.
Ils
détruisent méticuleusement toute mobilisation du Peuple français
par :
a-
Les procès d'opinion qu'ils cosignent avec les associations
communautaristes.
b-
Les procès et procédures contre les policiers et les gendarmes dont
l'action légitime est associée à la mort ou la mutilation du
contrevenant communautariste et délinquant récidiviste.
c-
Une cannibalisation des capacités de riposte des français aux
agressions communautaires par la notion de « légitime
défense » réduite à la sclérose intellectuelle et
judiciaire.
d-
La disqualification de la loi 1905
En
prononçant, quasi simultanément, l’acquittement de deux violeurs
d'enfants de 10 et 11 ans, lors de procès distincts, la justice a
elle-même institué la compatibilité de la Charia, car il s'agit de
cela, et du droit français.
Les
faits sont bien sûr bien plus divers et imputables à des
institutions variées.
Je
m'en tiens là à quelques signes récents et spécifiquement envoyés
par la justice au Peuple français pour le menacer et lui interdire
de parler et d'agir.
Le
message a été bien reçu et désormais les communautaristes
installés dans l'université réclament publiquement que le
terrorisme provoque le passage à une politique « inclusive »
autrement dit à la fin de l'indivisibilité de l’État.
Prétendre
que la démocratie va être défendue par des sections du peuple
qualifiées à cet effet à l'exclusion du Peuple lui-même ne peut
que conduire à des situations dans lesquelles les dirigeants de
l’État emploient des expressions que nous entendons aujourd’hui
telles que « Nous avons perdu la bataille de ceci-cela ».
C'est
à ce point qu'il faut désormais un certain courage au gouvernement
pour dire que ceux de nos concitoyens qui exercent une activité
criminelle dans un pays étranger doivent être jugés par la justice
de ce pays ; autrement dit pour gouverner.
Chacun
devine cependant qu'il devra négocier avec les soutiens du jihadisme
et laisser revenir la majorité de ces criminels.
Ils
seront alors le support d'une mise en accusation de la France pour
les avoir contraint de partir en les rejetant et le vecteur de la
politique de division administrative ou communautaire de l’État.
C'est déjà en cours à la télévision.
En
effet, il y a lieu d'être pessimiste quant à une victoire contre
l'islamisme mais les magistrats y ont leur part.
En
vous remerciant pour votre attention,
Je
vous prie d'agréer, Monsieur le Procureur de la République,
l'assurance de mes salutations distinguées,
Marc
SALOMONE
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