Paris le mardi 24 février 2015
Madame la Ministre de la Justice
Monsieur le Président de la Cour
d’Appel
Monsieur le Procureur général
Copie à :
Président de la République
Premier Ministre
Président du Conseil Constitutionnel et
Président de la Cour de Cassation
Président de la Cour de Justice de la
République
Président de la Cour d’Appel
Procureur général
Président du TGI
Procureur de la République
Président du BAJ
Bâtonnier
Madame la Ministre de la Justice
Monsieur le Président de la Cour
d’Appel
Monsieur le Procureur général
Je
reçois un courrier le 16 février 2015. Il est daté du 12 février et a été
envoyé le 13 février. Il est écrit :
-
« Je vous informe que la Cour d'appel a reçu votre dossier suite au
recours que vous avez formé le 05 Mai 2014 à l'encontre de la décision du
Bureau d'Aide Juridictionnelle du 12 Janvier 2015. Référence du dossier:
RG 15/03157 »
A
la fois : le jour, le mois et l’année de la datation du recours sont faux.
On
voudra peut être encore dire qu’il s’agit d’une erreur dactylographique de la secrétaire
incompétente.
Le
problème est que tous les courriers que je reçois de la magistrature sont des
faux.
Nous
seulement ce sont des faux mais ce sont ces faux qui organisent l’action de la
justice.
Ces
faux fonctionnent en récidive qui les légalise par l’évidence que donne la
répétition.
Ces
faux ont pour fonction de dénier à M. Salomone le droit au bénéfice d’un
avocat.
Celui-ci
s’empile sur les autres. Les conséquences légales de ce faux ou d’un autre, ne
seront même pas examinées.
J’ai
été suffisamment violé et torturé pour me faire retirer mes plaintes pour
savoir que tout ce que peuvent faire les personnes vulnérables est de dire que
les fautifs ont commis une faute et que leur action n’est pas la légalité.
Je
vous prie d’agréer, Madame la Ministre de la Justice, Monsieur le Président de
la Cour d’Appel, Monsieur le Procureur général, l’assurance de mes salutations
distinguées,
Marc SALOMONE
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