Paris le mardi 24 février 2015
Monsieur
le Président,
Certes,
le babillage judiciaire dont je vous tiens informé depuis le 19 juillet 2012
est insignifiant au regard des préoccupations qui sont les vôtres.
Par
ces copies, je veux d’abord vous informer sur la considération qui est portée
aux pauvres par la justice. Ici, il s’agit d’un possible viol. C’est le même
mépris dans l’examen de toutes questions.
Ce
questionnement porté vers la justice des faits rapportés par Mme Guillaume
rejoint cependant vos interrogations présidentielles par les effets possibles
sur les élections de 2017 de la Traque dont M. Sarkozy est l’objet de la part
de certains réseaux depuis 2013.
Cette
Traque est judiciaire pour M. Sarkozy. Elle est littéraire et médiatique pour
vous-même. Elle est destructrice dans les deux cas.
Les
obstacles mis à la présence d’un avocat pour accompagner mon questionnement
judiciaire sur les faits rapportés par Mme Guillaume participent d’un
imaginaire manœuvrier auquel je ne souscris pas.
Je
n’ai jamais cru qu’on pouvait régler les questions de l’Etat en éliminant en
dehors des élections ceux qui sont capables de le diriger.
Je
pense que la France est capable de mieux que ça.
Je
vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’assurance de mes salutations
distinguées,
Marc SALOMONE
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