Marc
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formes
Jeudi
22 avril 2021
LA
RECONNAISSANCE DE LA DISCRIMINATION DES FRANÇAIS DANS L'ATTRIBUTION
DES LOGEMENTS SOCIAUX AU COURS DE LA VISITE DU PRESIDENT MACRON DANS
LES HLM DE MONTPELIER, le 19 avril 2021.
1)-
Les faits
Le
lundi 19 avril 2021, le Président de la République visite un
quartier dit sensible de Montpellier.
Il
se rend dans un hall d'une cité HLM dont la police a évacué les
dealers qui l'occupaient militairement.
Il
croise opportunément une femme voilée qui se plaint auprès de lui
du manque de mixité. Le terme mixité et ses développements tels
que mixité sociale veut dire mixité raciale.
C'est
le code de langage pour dire que les populations sous contrôle de
l'islam sont devenues seules occupantes des lieux ou les français
sont effacés.
Elle
a fait ses études en primaire dans l'école du quartier. Il y avait
un mélange ethnique de populations européennes et de populations
diverses de références musulmanes.
L'islam
se confond avec des ethnies spécifiques et multiples par différence
avec les populations européennes de culture originelle chrétienne
et devenues laïques.
Laïque
signifie que la pensée publique ne tire plus sa légitimité d'une
réflexion religieuse mais civile.
Aujourd'hui,
son fils qui a huit ans lui demande si le prénom Pierre existe dans
la vraie vie ou s'il n'existe que dans les livres car il ne connaît
aucun de ses camarades qui ait ce prénom.
Ce
garçon est doué de curiosité. A huit ans, il est déjà capable de
transformer en questionnement rationnel ce qui lui apparaît comme
une évidence.
Il
faut donc attendre une visite présidentielle filmée et la
déclaration d'une musulmane voilée, militante, pour qu'il soit dit
que la discrimination au logement envers les français est une
réalité.
2)-
L'historique
Il
est en effet patent que les français sont écartés de l'occupation
des logements HLM ; immeubles ou pavillons (où ont grandi la
plupart des terroristes).
1-
Soit, ils partent d'eux-mêmes pour ne plus subir les formes
multiples de la domination islamique militante ; à commencer
par son association à la pure criminalité.
2-
Soit, les organismes d'attribution de logement, les préfectures, les
élus, les bailleurs, attribuent prioritairement les logements à des
populations migrantes, c'est à dire de référence musulmanes ou
expressément alliées à cette idéologie ; tels les chrétiens
et animistes africains.
Dans
les deux cas, on arrive au bout de quelques années au phénomène
que qualifie cette dame, à savoir la disparition des prénoms
européens, c'est à dire du calendrier chrétien, au profit de
l'exclusivité des prénoms musulmans ou africains.
3)-
Le privilège
La
réponse des réseaux de cadres français à cette exclusivité
démographique est le déni.
a-
Une mère musulmane militante peut se plaindre de ne pas voir de
français et elle n'est ni la seule ni la première.
b-
Par contre, il est hors de question que des cadres français, élus
ou bailleurs, prennent en compte la spécificité d'une candidature
française à un logement. Ils en font même un point d'honneur.
d-
Il était également hors de question que le Président rencontre une
française, qui se plaigne de ne pouvoir « mener une vie
paisible » dans telle cité.
4)-
Le constat
En
clair, c'est le constat d'une épuration ethnique de ces quartiers au
détriments des français.
Les
phénomènes de ghettos (Juifs, nationaux Arabes, Amazigh, Turcs,
etc) sont des réalités complexes qui découlent de ce mouvement de
remplacement des populations européennes par des populations de
référence musulmane.
On
le vérifie à Paris intra-muros. Comme à Montpelier, Nice,
Marseille, etc, Pierre n'y est visiblement plus présent dans un
grand nombre d'écoles primaires. Le parcours scolaire suivra
mécaniquement.
Il
y a bien une distinction publique entre deux types de populations.
a-
Les représentants des pouvoirs-publics le dénient.
b-
Les portes-paroles de la population de référence musulmane leur en
impose la reconnaissance.
c-
Les représentants des pouvoirs-publics de répondre publiquement à
tous les français mais acceptent de répondre en privé au
questionnement posé par les musulmans.
5)-
Les épurations
Ce
témoignage montre que l'empêchement d'occupation des logements
entraîne une éradication culturelle et administrative des prénoms.
Mais,
il entraîne pareillement une épuration raciale du marché de
l'emploi.
La
population du bassin de recrutement des entreprises bascule.
La
population salariée européenne est remplacée par les populations
musulmanes ou acceptées par celles-ci.
Avec
le salariat vient le capital. La propriété des entreprises bascule
aussi.
Ces
mutations ont de multiples facteurs liés à la même source :
a-
Raréfaction mécanique des candidatures françaises.
b-
Racialisme des nouveaux propriétaires d'entreprises.
c-
Sélection raciale des crédits d'installation en entreprise au
prétexte d'aider les plus pauvres.
d-
Militance des cadres publics qui trouvent intérêt à promouvoir au
prétexte de la diversité une population salariale acquise à la
privatisation des HLM, des entreprises publiques, à la liquidation
de la laïcité.
Là
aussi, les cadres français répondent par le déni et le mensonge de
la concurrence libre et non faussée.
6)-
Le vocabulaire
La
place des français reconnue par le vocabulaire public, y compris
officiel, au titre de classes populaires est également en mutation.
Ils
ne sont pas seulement éliminés fiscalement des centre villes au
titre de la gentrification et des prix immobiliers.
Le
langage, même officiel, prend acte de leur disparition de fait, ou
de droit lorsqu'ils sont encore présents, des dénominations
administratives et politiques des métropoles.
Ainsi,
les termes « banlieues », « quartiers »,
« quartiers sensibles », « périphérie »,
« quartiers populaires », « quartiers
défavorisés », etc. sont-ils les synonymes de l'exclusivité
de citation des arabes, africains, musulmans.
C'est
pourquoi, lorsque le Président Macron se rend dans un «quartier
sensible », il rencontre des musulmans et cause avec une femme
voilée. Ça va de soi.
Le
vocabulaire « social » et ses déclinaisons (classes
social, ségrégation sociales, mixité sociale, défavorisés,
pauvres, discriminés, racisés, etc.) sont également devenus
synonymes d'ethnies, races, de référence musulmane. Le social est
investi et mis en subordination par l'ethnique et le religieux.
Le
vocabulaire pour désigner les français des classes populaires est
celui de l'exclusion des métropoles, des lieux décision, d'action,
d'économie, de savoir, etc.
Les
français vivent dans la Ruralité, les Territoires ruraux,
Ils
sont exclus du vocabulaire social. Ils sont les « ruraux ».
On aurait dit autrefois, des « ilotes », des
« indigènes ».
Désormais,
dans les médias, les français sont couramment désignés par le
terme de « Franchouillards ». C'est l'exact synonyme de :
bougnoule, youpin, négro, yeux bridés, etc.
7)-
La disqualification
Il
se développe aussi, ci et là, notamment par les média, un discours
ouvertement raciste quant aux qualités personnelles des français et
des migrants ; au bénéfice des seconds.
En
fait, dans les Métropoles, les centres décisifs de la France
(économie, culture, politique, Etat, etc.), le vocabulaire sert
l'exclusivité de la présence des populations de référence
musulmane et la disparition démographique, l'inexistence publique,
l'inutilité sociale, des populations européennes.
Durant
le premier confinement pour la Covid 19, les salariés restés au
travail ont été identifiés aux migrants de filiation musulmane.
Non pas seulement parcequ'ils occupent désormais une grande partie
du salariat d'exécution en métropole mais d'abord parcequ'ils sont
les seuls à être reconnus utiles et que cette reconnaissance
certifie en creux l'inutilité des français.
8)-
Les illusions provisoires
Les
média, les élus, les chercheurs, les cadres administratifs, les
patrons, ne se reconnaissent pas dans cette distinction de deux
populations en concurrence l'une avec l'autre.
Il
en est ainsi car ils pensent encore qu'ils maîtrise cette division
et qu'elle ne concerne pas toute la population française mais
seulement les classes populaires.
De
fait, cette distinction des français et des musulmans, des Pierre et
des Mohamed, que présente cette dame ne concerne que les ouvriers et
les employés.
Les
universitaires et les capitalistes ont longtemps pensé n'être pas
concernés.
Et
tous sont contents de se débarrasser des ouvriers et employés
français qui ont fait les beaux jours des contestations
révolutionnaires.
Vive
la gentrification des villes ! L'entre-soi ! La légende du
Centre et de la périphérie.
En
fait, le situation est en train d'évoluer et les universitaires et
capitalistes sentent le vent du boulet.
C'est
la raison de la multiplication des livres, études, débats, sur
l'islamisme, la délinquance dite des banlieues, etc.
Cependant,
les auteurs doivent impérativement tenir l'islamisme à distance
sans nuire à sa fonction d'élimination des classes populaires
française.
Vaste
programme !
9)-
Deux exemples
Pourtant,
au travers de deux exemples complètement distincts les français dans
leur masse ont une idée du devenir de cette logique de
l'irresponsabilité :
1-
La Police-Gendarmerie
a-
Les policiers et les gendarmes ont cru longtemps qu'ils pourraient
servir d'adjuvant à la racialisation de la gentrification, regarder
les ouvriers et employés français s'enfuir dans la ruralité,
dominer les populations migrantes vues comme malléables.
b-
Désormais, ils vivent couramment à 150km de leur lieu de travail,
par raison de sécurité, ce qui les met en illégalité.
c-
Leur action est légalement subordonnée à la volonté des voyous à
partir du moment où celle-ci s'incarne dans la filiation idéologique
de cette femme voilée.
d-
Maintenant, ils se demandent où est le Pouvoir ; de leur côté
ou en face, chez les voyous de référence musulmane ?
e-
Bonne chance aux policiers et gendarmes mis en examen pour viol et
homicides !
2-
Les Juifs
Longtemps
les réseaux de cadres universitaires juifs ont voulu jouer la carte
de l'unité sociale des minorités persécutés.
En
2016, en masse, ils ont proposé de réussi en France ce qui a échoué
en Israël.
Aujourd'hui,
les documentaires nous apprennent qu'il n'y a plus un seul juifs dans
des cités ou des quartiers où ils étaient installés.
L'éradication
de ceux que leurs penseurs présentent comme « l'avant-garde de
la société » est banalement une partie de celle des français.
3-
Résumé
Cette
femme musulmane dit au Président que son fils de huit ans constate
qu'il n'y a plus de Pierre. Mais, il n'y a plus non plus de Mila, de
David, de flics, de pompiers, de médecins, d'écoles maternelles, de
partis politiques, etc.
Il
en est ainsi car ils ont été chassés par les musulmans, épurés
des candidatures au logement par les cadres dirigeants de
l'attribution des logements et de la sécurité publique, incendiés
par les révoltés de la Mosquée.
10)-
Conclusion
Aujourd'hui,
les cadres français ont l'autorisation de cette femme et du
Président de la République pour prendre acte dans la composition
des HLM du déséquilibre démographique absolu entre les populations
qui produisent des Pierre et celles qui produisent des Mohamed.
Le
déni de ce fait n'est donc plus possible.
Il
devient donc possible de se réclamer de l’Élysée et de la
Mosquée pour attribuer des logements, des emplois, des crédits,
spécifiquement à des français.
Et
enfin, la vie redeviendra paisible.
Marc
SALOMONE
PS :
11)-
Une fable annonciatrice
Lors
d'une émission consacrée à la prohibition ou légalisation du
Cannabis, le 21 avril au soir, la sénatrice et Maire-adjointe de
Marseille, Samia Ghali, a servi une légende qui a été mise au
point par les journalistes de la presse parisienne ; autrement
dit de Sciences-Po.
1-
La Drogue met en présence les jeunes des quartiers et les bourgeois
des beaux quartiers.
2-
Ce sont les bourgeois qui ont apporté jadis les drogues dans les
quartiers en forçant les jeunes à en consommer.
3-
Comme les jeunes des quartiers sont intelligents ils ont renversé le
rapport de force et désormais ce sont les bourgeois qui sont servis
par les quartiers.
4-
Dans les deux cas, les bourgeois exploitent les jeunes des quartiers.
5-
Il serait injuste que la légalisation permette aux bourgeois de ne
plus payer leur impôt de réparation aux jeunes.
6-
La légalisation est donc une mauvaise chose.
7-
Si elle avait lieu, les cartels qui dirigent les jeunes répandraient
la terreur.
Il
faut lire :
1-
La maffia Corse a été supplantée par les maffias arabes.
2-
Bourgeois est synonyme de Français et Jeunes ou quartiers sont
synonymes d'arabes, africains, musulmans.
3-
Les consommateurs, français ou non, sont assujettis à ces maffias.
4-
Il ne faut pas que ce racket et cette dictature s'arrêtent.
5-
L'expansion de cette dictature commerciale garantit l'installation
institutionnelle des cadres de la communauté sur une base
ethnico-religieuse.
Conclusion
1-
Ce discours ignoble, scandaleux, abjecte, est commun à Mme la
sénatrice et aux journaux tels que Le Monde.
2-
Il est caractéristique de cette manipulation des mots pour assurer
la primauté des distinctions ethniques et religieuses sur les
distinctions civiles et politiques.
3-
Il est désormais installé dans les allées du Pouvoir.
12)-
L'épuration caritative
L'épuration
raciale du caritatif passe inaperçue ou plutôt est censurée.
A
Paris, en 20 ans, les restaurants municipaux gratuits, les colis
associatifs (secours catholique, resto-du-cœur, etc), les repas du
soir de rue, sont devenus des lieux exclusivement racialistes au
détriment des français.
La
fourniture de clientèle est assurée par les assistantes sociales et
les associations locales.
L'épuration
est déjà là et non-dite.
En
mars 2021, le resto-du-cœur qui ne comptait déjà pratiquement plus
de français dans sa clientèle, a jugé que 1000euros pour une
famille de deux personnes était un signe de richesse et donc
d'exclusion.
Sous
la commodité de la gestion de la misère, on épure les derniers et
rarissimes français.
A
l'Armée du Salut, la soupe du soir est placée sous l'autorité des
gardiens arabes et africains.
Leur
racisme anit-français intrinsèque est couvert par la Direction et le procureur de
la République.