Marc Salomone / 122 bis boulevard Davout / 75020 Paris / 06.28.22.88.96 / salomone.marc@neuf.fr / Blog : madic50.blogspot.com / Livre : Les deux formes, éd. Amazon.
Paris, le jeudi 21 octobre 2021
Président du Tribunal correctionnel de Versailles
5, place André-Mignot, 78 011 VERSAILLES CEDEX / Tel. : 01 39 07 39 07
Objet : Benzema : réquisitions
Madame, Monsieur, le Président du Tribunal correctionnel
Contre Karim Benzema, le procureur de la République a requis dix mois de prison avec sursis. Le parquet réclame également une amende de 75 000 euros.
Le site privé «foot national » peu suspect de malignité déclare « Des réquisitions assez clémentes pour l'international français qui risquait de la prison ferme. »
Dans la même période, Nicolas Sarkozy, ancien Président de la République :
a- est condamné à deux peines de un an ferme, dont une exécutable par bracelet électronique.
b- est contraint de venir témoigner dans une affaire dans laquelle il jouit d'une immunité dans le seul but de l'humilier, de se faire un Président, un politique.
L'indemnisation montre la subordination des plaignants aux voyous maffieux.
M. Valbuena demande 150 000euros alors que depuis 5 ans sa carrière a été brisé par un homme qui a lui, selon la presse, empoché 1million d'euros par mois.
La FFF demande l'euro symbolique alors que cette affaire a permis de classer la France parmi les pays gangrenés par la pègre auprès de tous les services concernés.
L'amende de 75 000euros est incompréhensible.
Ces gens ont volontairement investi le territoire de l’État pour y installer leur loi et ont voulu pareillement soumettre l'agent de l’État qu'est un joueur de l'équipe de France à l'impôt maffieux, le Pizzo.
M. Benzema n'est pas complice. Il est acteur.
Vous pouvez encore sauver l'honneur des français face à ces crapules et prononcer une peine ferme, n'importe laquelle, aménageable par un bracelet électronique au besoin, comme pour le Président Sarkozy, et inscrire les mots d'activité criminelle maffieuse dans le jugement.
Comme en Italie, c'est aussi de l'indépendance de la justice et de la paix civile qu'il s'agit.
En vous remerciant pour votre attention,
Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, le Président du Tribunal correctionnel, l'assurance de mes salutations distinguées,
Marc SALOMONE
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