Paris mardi 28 juillet 2015
Monsieur le Bâtonnier,
Ordre des Avocats à la Cour de Paris
11, place Dauphine
75053 Paris CEDEX 01
Tél. : 01 80 27 19 20
Affichage public officiel de la
Mairie de Paris
« Ce n’est pas parceque
vous n’avez pas de logement
que vous n’avez pas droit à un avocat ».
« On a tous droit au
droit »
Barreau Paris Solidarité
Avocatparis.org.
Note : Depuis le 19 juillet 2012,
tous les textes de cette affaire sont sur le blog : madic50.blogspot.com.
Monsieur le Bâtonnier,
1)- Le cheminement
Je vous ai constamment entretenu de ma
démarche, commencée les 19 et 27 juillet 2012, auprès de M. le procureur de la
République concernant les faits rapportés par Mme Guillaume dans son livre, Le
Monarque, son Fils, son Fief.
Cette démarche impose la présence d’un
avocat.
A cette fin, j’avais sollicité vos
conseils, le 10 avril 2014. J’en ai reçu une lettre le 14 avril 2014. Je m’y
suis conformé et j’ai déposé une demande d’Aide juridictionnelle (AJ) le 17
avril 2014.
Il m’a immédiatement été répondu par
une Notification du 29 avril, du Bureau d’Aide juridictionnelle (BAJ), qui est
un faux en écritures publiques.
L’obstruction illégale n’a pas cessé
depuis.
2)- La ségrégation sociale
Cette obstruction n’est pas
principalement une solidarité à l’égard de M. Sarkozy. Chacun connait
l’activité intense de la magistrature pour déstabiliser judiciairement cet
homme d’Etat.
Ce barrage est d’abord le produit d’une
politique judiciaire reposant sur la ségrégation sociale.
a- Les magistrats donnent suite à des
plaintes ou des signalements grotesques visant M. Sarkozy. Ils mettent ce
dernier en examen en faisant savoir publiquement que telle inculpation n’a
aucun fondement juridique et qu’elle fera pschitt !
b- Les mêmes refusent un avocat à un
pauvre pour examiner des faits dont nul ne s’avise de mettre en cause la
véracité.
3)- Un avocat
Je ne vous demande d’intervenir ni dans
une affaire judiciaire ni pour que j’aie l’AJ.
Je vous demande :
1- De dire à qui de droit que la
demande d’Aide juridictionnelle déposée le 17 avril 2014 doit être lue.
Elle ne l’a pas été car elle a été
notifiée par le BAJ par un faux en écritures publiques repris par les Cour
d’Appel.
C’est ce faux qui a été rejeté et confirmé.
Il parait invraisemblable que le
Bâtonnier soit incompétent pour défendre le droit à un avocat lorsque ce droit
est frauduleusement bafoué.
2- De nommer un avocat gratuit, même au
mois d’août, pour faire le point et voire comment faire face à toutes ces
fraudes.
4)- L’utilité de l’avocat
Un avocat pourrait m’aider à utiliser
des termes professionnels.
Ainsi :
a- Lorsque j’écris à Mme la Présidente
du TGI, je donne mon argumentation.
b- M. le Vice-Président me répond que
je « fais état d’un crime de viol ».
c- Or, je n’ai pas employé cette
expression.
Ceci montre que :
1- Mes arguments ont une traduction
professionnelle.
2- Il y a un langage professionnel qui
pourrait amener les magistrats à étudier les faits rapportés plus aisément.
En même temps, il pourrait m’aiguiller
dans le maquis des procédures. Ainsi, on me parle de plainte pénale et de voie
civile. De quoi s’agit-il ? Seul un professionnel honnête peut le dire.
Vu que tout le travail de rédaction est
fait par M. Salomone, l’avis de l’Avocat ne sort pas du rôle que lui impartit
la consultation gratuite.
5)- Conclusion
C’est surement bien que les avocats
français soient de grands spécialistes des fautes des Chefs d’Etat africains.
Il serait sans doute également judicieux qu’ils participent à ce que celles des
Chefs d’Etat français soient discutées sous le contrôle des mêmes magistrats.
En vous remerciant de votre attention
et en attendant de vous lire,
Je vous prie d’agréer, Monsieur le
Bâtonnier, l’expression de mes sentiments distingués,
Marc SALOMONE
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