Démocratie citoyenne et fascisme administratif
1- Lettre à Mme la Garde des sceaux
2- Provocateur n°1
3- Provocateur n°2
4- Lettre à Mme la Garde des sceaux
Paris,
le lundi 10 septembre 2012
Christiane TAUBIRA
Garde des Sceaux,
Ministre de la Justice
Directeur du cabinet
M. Christian VIGOUROUX
Conseiller technique
affaires réservées
M. Eric LAFONTAINE
13, place Vendôme
75042 PARIS CEDEX 01
Tel. : 01 44 77 60
60
Fax : 01.44.77.60.81
Madame
la Ministre
Ce qui
m’amène vers vous c’est le travail public de l’été. Des français ont porté à
notre regard des crimes et délits de cadres politiques. Fallait-il ne pas les
voir ? A partir de quand sommes nous complices et au-delà de quoi sommes
nous indiscrets ?
Mon
premier semble-t’il a violé une femme et violé la constitution. Mon second a
mis en place un système de corruption départementale qu’il a transporté par sa
personne au plus haut niveau de l’Etat. Mon troisième est une personne
collective qui inclut Paris, la capitale. Les cadres honnêtes de cette
collectivité territoriale appellent l’Etat à l’aide. Ils le font
clandestinement, en refilant des informations à la presse. Ils agissent en
dousdé, comme des passeurs de drogue. On aurait dit autrefois, des résistants.
Mon quatrième est la police politique qui intervient en sous-main pour contrer
une activité judiciaire.
La
presse, voilà la coupable, Madame la Ministre. Sans elle, le grand public
auquel j’appartiens n’aurait rien su de ces « agapes ». Je dénonce
Canal+ et le Canard Enchaîné. Leurs informations sont d’autant plus pernicieuses
qu’il y a toutes les chances pour qu’elles soient exactes. Personne n’ayant
jamais pu les prendre en défaut de mensonges d’ordre judiciaire.
Les
textes ci-joints invitent à poser les questions suivantes :
1-
Faut-il censurer, ou instruire ? Eteindre ou éclairer ? L’Etat
s’identifie t’il aux crimes de ses dirigeants? La démocratie s’affaiblirait
elle à juger les crimes de ses représentants ?
2- Le
viol, le proxénétisme, éventuellement le complot, ont-ils encore un sens dans
le lieu d’un Pouvoir, le Pouvoir exécutif ? Doit-on remarquer que le viol
d’une personne par le représentant d’un Pouvoir à des fins de violer l’autre
Pouvoir, le Pouvoir législatif, est une faute constitutionnelle ? Le droit
constitutionnel à t’il encore un sens après le Traité de Maastricht ? La
France est-elle en deçà du Tiers-monde dans l’évolution des capacités du droit
à passer outre l’idéologie de l’impunité totale que s’octroient les chefs des
Pouvoirs exécutifs archaïques?
3- L’autre
lieu de Pouvoir permet-il la substitution du code de procédure palermien des
« frères » au code de procédure pénal français? La constitution
d’un cercle vertueux entre un élu qui protège les affaires d’un affairiste et
l’affairiste qui met sa fortune au service de la carrière de l’élu, ne regarde
t’elle que les économistes de la réussite individuelle ? Un système
d’échange réciproque est il autre chose qu’un Pacte de corruption ? Qui
peut éviter que les affairistes réclament pour chacun ce qu’on accorde à l’un
d’entre eux ? Comment refuser les fraternités des autres élus lorsqu’on
persévère dans la sienne ?
4- Pourquoi,
en France, la corruption, comme mode d’organisation entre les élus des
différents partis, serait elle productrice d’efficacité dans les réalisations
publiques, de droiture des comptes, de rejet de la maffia ? Nous savons qu’elle
produit l’inverse dans des pays comparables comme l’Italie, et partout ailleurs
dans le monde. Les lois de la corruption s’arrêtent elles aux frontières de la
France, comme fort heureusement le nuage toxique de Tchernobyl? Qui l’Etat doit
il soutenir ? Les honnêtes gens ou les corrompus ?
5-
Est- il pertinent de laisser les bas-fonds de la police politique s’occuper des
personnes qui posent des questions aux magistrats ? C’est répétitif. Organiser,
produire, couvrir : l’enlèvement, la séquestration, la torture, pour
l’obtention du retrait des plaintes, les faux en écritures publiques, comme
mode de rapports écrits légaux, sont elles les seules actions que sont capables
de conduire les élèves de l’école de la magistrature ?
En
restant à votre disposition, je vous prie d’agréer, Madame la Garde des Sceaux,
l’assurance de mes salutations distinguées,
Marc SALOMONE
PS : Documents joints
Demande d’ouverture d’une enquête préliminaire et articles
de presse du :
1- Jeudi 19 juillet 2012
2- Article Canard Enchaîné du 4 juillet 2012
3- Vendredi 27 juillet 2012, Addendum
d- Lundi 6 août 2012
4- Article du Canard Enchaîné du 27.06.2012
5- Bien qu’ils n’aient factuelement aucun point commun.
6- Vendredi 17 août 2012-09-09
7- Article du Canard Enchaîné du 14 août 2012
8- Mardi 28 août 2012
9- Article du Canard Enchaîné du 22 août 2012
10- Mardi 28 août 2012. Police
11- Jeudi 30 août 2012
12- Article du Canard Enchaîné du 29 août 2012
13- Vendredi 7 septembre 2012
14- Article du Canard Enchaîné du 5 septembre 2012
2-
Paris, le mardi 28 août
2012
Monsieur le Procureur
de la République
Suite aux demandes d’ouvertures
d’enquêtes judiciaires que j’ai eu l’honneur de vous proposer, il se pourrait
qu’on s’intéresse déjà à ma personne.
S’il devait m’arriver
quelque chose, la justice serait bien avisée de commencer ses recherches par le
numéro de téléphone : 06.51.54.96.27. Le propriétaire de ce numéro m’a
appelé le lundi 27 août 2012, à 13h09, durant : 00 05 :28mn.
Ce Monsieur dit être
plusieurs. Il dit qu’ils sont intéressés par ma plainte de 2007 au sujet de
l’appartement de M. Sarkozy. Il dit qu’ils ont vu sur Internet que je faisais
« des choses dans l’immobilier » et qu’ils font comme moi des
« choses dans l’immobilier ». Il dit qu’ils veulent me rencontrer
pour faire des « choses ensemble ». Avec insistance. Le but est de me
rencontrer. Aucune crédibilité dans ce langage, ni comme militant, ni comme
acteur d’un engagement réel. Je lui ai répondu qu’il lise ce que j’avais écrit
sur Internet et qu’il me recontacte par mail. Il dit qu’il va mieux se
renseigner et me rappeler. Je pense qu’il y aura des suites.
J’ai assez d’expérience
pour reconnaître le déguisement du provocateur policier. Sans grand risque de
me tromper. Il sera donc inutile d’avoir recours à la police pour enquêter si
vous le jugez nécessaire. Elle serait juge et partie.
Je vous prie d’agréer,
Monsieur le procureur de la République, l’assurance de ma considération
distinguée,
Marc SALOMONE
3-
Paris, le 17 septembre
2012
N. Réf. :
Paris, le jeudi 19
juillet 2012
Paris, le vendredi 27 juillet 2012
Paris, le lundi 6 août
2012
Paris, le vendredi 17
août 2012
Paris, le mardi 28 août
2012
Monsieur le Procureur
de la République
Ce jour, le 17
septembre 2012, à 16h28, durant 55secondes, depuis le numéro :
07.53.48.69.97, une personne m’a appelé en affirmant être intéressé par
« votre annonce de vente de préservatifs parue sur Internet ». Il
s’agit d’une annonce commerciale passée il y a plus d’un an, pour une
marchandise détruite depuis plus d’un an également. Elle n’était pas certifiée.
En même temps que j’ai passé l’annonce, j’ai consulté la dgccrf et la ddpp.
Celles-ci ayant rendu un verdict négatif, la marchandise a été détruite sur le
champ. C’est une escroquerie dont l’affaire est en cours. C’est long car j’agis
par assurance juridique et je dois faire toute la préparation du dossier
moi-même. Cela personne ne peut le savoir.
Les gestionnaires du
site Internet en question ont rapidement retiré l’annonce puisqu’elle n’a plus
été alimentée.
Pour connaître cette
annonce un an après son annulation, il faut avoir des pouvoirs d’enquête sur ma
personne que seules les institutions d’Etat possèdent.
D’une part, il y a une
ou plusieurs enquêtes sur ma personne.
D’autre part, ces
enquêtes ne visent pas à informer les autorités compétentes mais à organiser
une activité barbouzarde, autrement dit : une activité administrative
illégale et fasciste.
Déjà, le mardi 28 août,
un provocateur policier m’avait téléphoné pour discuter de ma plainte
« concernant « des choses dans l’immobilier ». Ses amis
faisaient aussi des « choses dans l’immobilier ».
Je tiens un compte
rigoureux de ces interventions. C’est en effet ainsi que procèdent les criminels
administratifs d’Etat.
Ils téléphonent
plusieurs fois pour situer la personne, la « loger », puis, avec
l’accord criminel du procureur de la République, ils interviennent à l’heure du
laitier dans l’appartement de la personne visée. Ils se font ouvrir en se
présentant comme le facteur. Ils entrent alors en force.
Coups, terrorisme,
menotage, enlèvement, faux en écriture publique et en réunion, psychiatrie. Enlèvement,
séquestration, torture, retrait de plainte.
Le retrait de la
plainte par le plaignant n’est que formel puisque le procureur de la République,
complice, constatant que le plaignant n’est plus en état de se présenter,
annule la plainte.
Dans ces agressions
fascistes contre des citoyens français, les solidarités syndicales,
administratives, judiciaires, sont totales. Les magistrats de la Cour de
Cassation n’hésitent pas à pratiquer le faux en écriture publique. Les hommes
du village peuvent montrer leur sexe à la demeurée, son regard est sans valeur.
Le système est connu. Les
droits communs d’Etat ont des méthodes répétitives.
J’ai déposé trois
demandes d’ouvertures d’enquêtes préliminaires. Il apparaît donc qu’on cherche
à y répondre par les moyens ordinaires du fascisme administratif.
Le seul moyen de mettre
fin à cet engrenage criminel est de donner une suite publique officielle à ces
demandes. Les collègues fascistes, de droite ou de gauche, comme tous les
criminels maffieux, n’aiment pas la lumière.
Je vous prie d’agréer,
Monsieur le procureur de la République, l’assurance de ma considération
distinguée,
Marc SALOMONE
4-
Paris, le 17 septembre
2012
Christiane TAUBIRA
Garde des Sceaux,
Ministre de la Justice
Directeur du
cabinet
M. Christian VIGOUROUX
Conseiller
technique affaires réservées
M. Eric LAFONTAINE
13, place Vendôme
75042 PARIS CEDEX 01
Tel. : 01 44 77 60 60
Fax : 01.44.77.60.81
Madame la Garde des
Sceaux,
Je vous prie de trouver
ci-jointes les deux lettres que j’ai adressées à M. le procureur de la
République.
Il se trouve que je
connais bien la technique du crime qui se prépare.
Parceque j’ai eu à porter
plainte pour viol et association de malfaiteurs contre des fonctionnaires de la
police judiciaire alliés à des voyous civils contre des handicapés mentaux, j’ai
déjà été violé, enlevé, séquestré, torturé, par des voyous de droit commun
d’Etat, sous contrôle de M. le procureur de la République.
Je connais aussi la
solidarité des syndicalistes dans le crime.
Je vous demande de
mettre fin à cette entreprise fasciste en donnant suite aux demandes
d’ouvertures d’enquêtes préliminaires que j’ai déposées. Qu’elles ne plaisent
pas à tels ou tels ne suffit pas à entraver le cours de la justice.
Je vous prie d’agréer,
Madame la Ministre, l’assurance des mes considérations distinguées,
Marc SALOMONE
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