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Paris,
le mardi 10 juin 2014
Objet :
Plainte contre X pour faux en écriture publique et abus de pouvoir pour une obstruction
astucieuse à l’action de la justice.
Copie
à :
Pouvoir
exécutif
Pouvoir
législatif
Autorité
judiciaire
Monsieur
le Bâtonnier
Monsieur
le procureur de la République.
Section
1 : La plainte contre X
1)-
Les faits
Depuis
le 19 juillet 2012, je demande une enquête préliminaire pour l’étude judiciaire
des faits évoqués par Mme Guillaume dans son livre Le Monarque, son fils, son
fief.
Le
17 avril 2014, je dépose une demande d’Aide juridictionnelle (AJ) auprès du
Bureau d’aide juridictionnelle (BAJ) dont M. le Bâtonnier me dit qu’il
dépendait du Tribunal de Grande instance (TGI).
Le
21 avril, je demande à Mme la Présidente du TGI, de bien vouloir veiller à
l’équité sociale de l’étude de mon dossier.
Le
25 avril, je reçois une réponse de M. le Vice-Président du TGI.
Le
29 avril, je reçois de la part du BAJ une Attestation de dépôt de la demande
d’AJ
1-
Ce dernier courrier me semble être un faux en écriture publique visant à délibérément
créer une obstruction à la justice par un abus de pouvoir.
2-
Il m’apparaît fort probable que cette notification datée du 29 avril ait été
écrite en relation avec le courrier daté du 25 avril écrit par M. le
Vice-Président du Tribunal de Grande Instance, mis en copie pour le BAJ.
2)- La notification du 29 avril 2014
Le
29 avril, le BAJ rédige une « Attestation de dépôt d’une demande d’aide
juridictionnelle ».
Rien
de plus banal qu’un Accusé de réception. Sauf lorsqu’il est un faux en écriture
publique.
Il
y est écrit que :
« Le
secrétaire du Bureau d’aide juridictionnelle atteste que ;
M.
Salomone...etc.
A
déposé le 17/04/2014 une demande d’aide juridictionnelle, pour une procédure
contre : PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE »
2-
Le texte de référence
La
demande d’AJ, adressée effectivement le 17 avril 2014, est conçue comme
suit :
« 1-
La demande
La
totalité des demandes et courriers qui ont été remis à M. le procureur de la
république ainsi qu’à la Cour de justice de la République, puis retransmis à M.
le procureur de la République, sont lisibles sur le site madic50.blogspot.com.
Marc
Salomone a déposé le 19 juillet 2012 une demande d’ouverture d’une enquête
préliminaire concernant les faits rapportés par Mme Guillaume dans son livre Le
Monarque, son Fils, son Fief.
L’objet
en est les faits présumés suivants : Viol, mise en prostitution,
proxénétisme hôtelier, détournements de fonds publics, recels, viol d'une
députée dans l'exercice de ses fonctions, agression du Pouvoir législatif par
la Pouvoir exécutif, par le Chef de l'Etat Nicolas Sarkozy, dans l'exercice de
ses fonctions, par préméditation. »
«
2- Conclusion
Pour
ces raisons, de citoyenneté, d’expérience, de droit, d’égalité, je demande
l’aide juridictionnelle totale afin d’avoir le bénéfice des services d’un
avocat et que soit assurée la bonne marche de la justice. »
Où
est le « PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE » ? Nulle part. C’est bien
une falsification mal intentionnée. Une faute.
Il
n’y a pas la moindre équivoque possible. Rien ne peut amener la confusion entre
l’intitulé de la demande d’AJ déposée par M. Salomone et l’intitulé inventé
dans l’intention de nuire par le BAJ, probablement en concertation avec des
autorités judiciaires.
3)- La lettre du 25 avril
1-
Le texte
« Monsieur,
« Votre
courrier en date du 21 avril 2014 a retenu l’attention de Madame la Présidente
qui m’a chargé de vous répondre.
Vous
avez indiqué que vous souhaitez bénéficier de l’aide juridictionnelle tout en
invoquant divers éléments ayant trait à l’ancien président de la République,
notamment des infractions pénales, imaginaires ou supposées pour lesquelles
vous n’avez juridiquement aucun intérêt à agir, n’étant pas à priori victime du
crime de viol dont vous faites état et qui serait imputable au chef de l’Etat.
En
revanche, si vous souhaitez porter plainte pour des faits vous concernant
directement, je vous invite à vous rendre au commissariat de police ou d’écrire
au Procureur de la République ou de consulter un médecin psychiatre.
Je
vous prie de croire, Monsieur, à l’expression de mes salutations distinguées,
Pascal
Le Luong »
2- La règle
A- Le droit
M. le Vice-Président agit ici en tant que magistrat du TGI en
charge du fonctionnement du BAJ.
Il ne peut donc que traiter les questions dont a à connaître le
BAJ.
Soit :
a- Les revenus du justiciable demandeur
b- L’examen de la demande pour savoir si « la procédure
engagée n’est pas manifestement irrecevable ou dénuée de fondement » (Art.
7 de la loi du 10 juillet 1991).
A la fois par ses revenus et les caractéristiques de sa demande ;
M. Salomone satisfait pleinement à ces critères.
La demande a été déposée par M. Salomone aux titres de Citoyen, de
Contribuable, d’ancien violé. Cela garantit, par la loi et la jurisprudence,
son « intérêt à agir ».
B- L’étude
M. le Vice-président répond le 25 avril à un courrier écrit le 21.
Donc, il répond par retour du courrier.
C’est un peu court pour réfléchir. C’est une prise de parti qu’il
adresse à M. Salomone.
J’ai consacré trois courriers ci-joints à analyser minutieusement
le texte que m’a adressé M. le Vice-président, au nom de Mme la Présidente. Cf.
les courriers ci-joints du 9 mai, 26 mai, 3 juin 2014.
En fait, M. le Vice-président use de son autorité pour :
a- Porter des appréciations et des jugements sur un dossier dont
lui-même n’a pas à s’occuper, puisqu’il intervient comme support hiérarchique
du BAJ.
b- Arranger la présentation du dossier et de la jurisprudence à sa
convenance.
c- Faire reposer l’évidence de son propos sur la disqualification
personnelle de M. Salomone et sur des menaces de tortures psychiatriques.
d- Disqualifier la personne de M. Salomone
e- User de l’argument d’autorité
f- Abuser astucieusement de son autorité auprès du BAJ
Ce qui est premier est qu’il adresse à M. Salomone un courrier à
caractère privé. Il le fait pour échapper à la discussion juridique de propos
qui sont destinés à créer une ambiance qui permette d’intimer implicitement
l’ordre au BAJ de refuser d’accorder l’AJ à M. Salomone.
Il ne peut le dire directement car il n’a pas le droit de le
faire, alors il en produit l’évidence, l’esbroufe, par ce texte.
Il s’agit bien de tromper astucieusement le lecteur ; à
commencer par le BAJ.
C- La manipulation astucieuse
1- Le système astucieux
M. le Vice-président met en place un système qui :
a- Permet à son courrier d’échapper à toute discussion judiciaire
puisqu’il est à caractère privé, ou quasi-tel,
b- Repose sur son autorité de chef de l’instance judiciaire du BAJ
c- Fonctionne à l’argument d’autorité : Si vous me
contredisez, vous êtes un imbécile et ça se soigne. Prenez garde !
2- Ce faisant :
a- Sans avoir le droit de
le faire, il ordonne de fait au BAJ de refuser l’ouverture d’un droit dont cet
organisme compétent n’a pas encore commencé à étudier la validité.
b- Sans avoir le droit de le faire, il préempte la décision
d’Appel éventuel, puisqu’il donne le point de vue du TGI qui est l’organisme
d’Appel avant que l’organisme de première instance ait rendu une décision.
c- M. le Vice-président ne pourra donc ni être contredit par une
procédure d’Appel, ni par un rappel au droit d’un avocat.
d- En effet :
da- Si M. Salomone demande l’AJ c’est précisément qu’il est en
dessous du seuil de pauvreté et qu’il ne dispose d’aucun avocat pour le
représenter.
db- Comme c’est un courrier personnel il est probablement inattaquable devant une
juridiction.
d- Le BAJ acceptera d’office l’argument d’autorité.
Si c’est vraiment cela, c’est malhonnête.
4)- L’entente
a-
La lettre de M. le Vice-Président est du 25 avril. Elle est mise « en
copie » immédiatement au BAJ.
b-
Le 29 avril, le BAJ rédige une « Attestation de dépôt d’une demande d’aide
juridictionnelle ».
Comment ne pas se dire qu’il y a un lien entre l’action hors de la
procédure légale que constitue la lettre de M. le Vice-président et le faux en
écriture publique du BAJ commis dans la rédaction de la notification ?
Il est plausible de penser qu’il y a eu concertation ; le
pauvre type n’y pourra rien.
Toute cette démarche ne peut s’expliquer sans la certitude qu’ont
les auteurs de ces lettres de leur impunité et de la solidarité corporative de
tout le personnel d’Etat concerné.
5)-
La manœuvre
J’ai
une expertise en matière de viol et de protection officielle des violeurs.
L’une des manœuvres utilisées est la création d’une affaire dans l’affaire.
On
oblige le trop-curieux à entamer une procédure parallèle à la procédure
principale, ici la demande de l’Aide juridictionnelle, et de cette façon la
procédure principale s’enterre toute seule, la procédure secondaire est enlisée
par ailleurs.
Le
temps de sortir quelque chose et les délais de prescription sont passés, ou les
acteurs sont morts.
Section
2 : L’actualité de l’action engagée
1)-
Changement et continuité
1-
Le 19 juillet 2012, M. Salomone dépose auprès de M. le procureur de la
République une demande d’ouverture d’une enquête préliminaire concernant les
faits rapportés par Mme Guillaume, dans son livre Le Monarque, son fils, son
fief,
2-
A ce moment là, M. Sarkozy a déclaré publiquement qu’il se retire de la vie
politique. Il met en scène son retrait.
3-
La justification majeure de l’omerta est alors que ces faits sont du passé et
qu’il convient de ne plus y revenir. Il faut regarder vers l’avenir.
4-
En 2014, justement nous sommes dans l’avenir. M. Sarkozy se déclare désormais
candidat pour l’élection présidentielle de 2017.
5-
La justification majeure de l’omerta s’est inversée. Il ne s’agit plus de ne
pas regarder le passé mais de ne pas insulter l’avenir.
6-
Ce qui reste est :
a-
L’omerta
b-
La demande d’ouverture d’une enquête préliminaire.
2)-
L’inversion des responsabilités
Il
est caractéristique que dans cette affaire, la personne violée, une députée qui
est violée au titre de sa représentation du Pouvoir législatif, soit au mieux
ignorée, au plus courant insultée.
Parceque
M. Sarkozy est allé au crime, qu’il a mis les réseaux de cadres devant
l’obligation de lui donner tord et de le mettre dans l’obligation de réparer
ses tords, tous les réseaux de cadres, à commencer par les journalistes et les
magistrats, n’hésitent pas à couvrir le crime présumé par l’omerta et à participer
ainsi à une subordination violente d’un Pouvoir constitutionnel à un autre
En
prenant parti pour l’omerta, les magistrats prennent aussi parti pour :
1-
Le droit du Pouvoir exécutif à violenter le Pouvoir législatif ; en tout
cas ses membres. Il y a eu depuis d’autres exemples de violences de représentants
du Pouvoir exécutif sur la personne des députés pour entraver l’exercice de
leurs fonctions ou les empêcher de pénétrer dans le Parlement.
2-
Le droit de cuissage des forts sur les faibles, des Puissants sur les
Misérables.
Le
crime paie.
3)-
Qualification et disqualification
Par
un acte de droit commun, le Pouvoir exécutif crée un conflit avec le Pouvoir
législatif.
L’objet
de l’intervention des cadres français, dans leur diversité, n’est pas de nommer
le fait et de restaurer l’égalité des Pouvoirs. Il est de chercher à savoir qui
est fort et qui est faible. Le premier à raison, le second à tord.
M.
Sarkozy est dépeint et considéré dans la majesté de son Pouvoir. Il use d’un
droit de cuissage dont l’illégalité n’a aucune importance puisque personne n’en
demandera compte. Il est Puissant.
Mme
la députée est présentée comme l’habituelle salope à disposition. Elle a fauté,
elle est coupable, elle a intérêt à se taire et à disparaitre. Elle est
Misérable.
4)-
Le motif de l’omerta
1-
La poupée
Le
viol d’une députée est aux yeux de tous les réseaux de cadres le symbole de
l’idéologie du Pouvoir fort à la mode ces temps-ci.
Dans
cet affrontement, Mme la députée figure le Peuple.
a-
Elle est comme ces poupées de chiffons dont usent les sorcières pour tuer un
ennemi en enfonçant une pique dans le cœur de la figurine.
b-
Pour les cadres français, la verge de M. Sarkozy agit comme un dard qui tue le
Peuple en en s’enfonçant dans l’orifice de la salope qui très précisément
« représente le Peuple ».
2-
Le précédent
a-
Au-delà du plaisir intime de l’évocation du viol, en récit ou en vidéo, attribuer
une faute à M. Sarkozy serait ipso facto reconnaitre un droit à la réparation à
Mme la députée.
b-
Au-delà de ce cas, l’exemplarité de la procédure entrainerait sa réplication
dans tous les rapports criminels des cadres avec toute la population.
3-
Le peuple
Reconnaître
le droit à la réparation de Mme la députée revient à le reconnaître pour tous
ceux qui s’apparentent au Peuple.
4-
La révulsion
Les
cadres français ont un tel mépris du peuple français qu’ils ne peuvent accepter
cette éventualité. Que ce soit le coupable qui paie ou que cela ne coûte rien
au Trésor public n’y change rien. J’ai pu voir in vivo à quel point le refus
d’indemniser les faibles est une question de principe.
Cette
reconnaissance du droit à la réparation pour les personnes agressées ordinaires
donnerait confiance aux quidams dans la capacité des cadres à réparer eux-mêmes
leurs propres crimes commis entre alter egos. Mais, les cadres français ne
veulent pas le respect des citoyens, ils veulent la crainte des esclaves.
Dans
cette affaire soulevée par Mme Guillaume, la simple collaboration avec la
justice d’un quidam en vue de la manifestation de la vérité suscite la
révulsion.
On
perçoit à la lecture de la lettre de M. le Vice-président la salissure qu’a
représentée pour eux le fait qu’un gueux sollicite leur attention pour
accompagner une action concernant un cadre dirigeant.
5)-
La jurisprudence
Nous
savons maintenant que les magistrats sont coutumiers de manipulations des faits
et du droit qui les encadre selon l’intérêt politique ou personnel qu’ils
portent au dossier ainsi traité.
Ainsi,
la décision de validation de l’élection présidentielle de 1995, par le Conseil
Constitutionnel, était-elle falsifiée.
Les
comptes de M. Balladur et de M. Chirac ne correspondaient pas aux textes qui
les régissent. A la demande de M. le Président du Conseil Constitutionnel, ces
comptes furent falsifiés par les rapporteurs du Conseil jusqu’à ce qu’ils
deviennent conformes.
Juridiquement,
cela ne ressortissait pas du pouvoir discrétionnaire du Président. Ce fut un
acte de dictature. Pas un seul conseiller n’a protesté.
Qui
peut prétendre que cela n’a pas de conséquences sur les rapports des cadres
d’Etat au droit ?
Cette
défaite du droit s’est faite sous couvert de l’idéologie de l’imbécilité du
peuple et de la grande sagesse des cadres. C’est exactement ce qui est en train
de se faire pour M. Sarkozy.
C’est ainsi qu’on impose l’idée que la dénonciation publique du
viol présumé commis par M. Sarkozy mettrait la France en danger. Cette
idéologie met la France au niveau du Tiers-monde.
6)- Le principe d’égalité
A- La ségrégation sociale
Il faut expliquer au public pourquoi :
1- Pourquoi les procureurs de la République ouvrent-ils des
enquêtes préliminaires sur la foi de lettres anonymes ou, dans les cas
concernant M. Sarkozy, sur la foi de reportages qui ne prouvent rien, pour des
affaires frappées par la prescription ?
2- Pourquoi les procureurs de la République refusent-ils d’examiner
les faits d’une demande portant sur une histoire fondée sur l’unité de temps,
de lieu et d’action, concernant quatre personnes, aisément vérifiable,
rapportée par une personne digne de foi et jamais démentie par les
intéressés ?
La ségrégation sociale ne peut servir à tout.
B- La rupture d’égalité
En refusant l’AJ à une personne dont le dossier est conforme aux
règles de composition de celui-ci le BAJ et M. le Vice-Président rompent
l’égalité des français devant l’accès au service public.
Je paie des impôts, j’ai droit à profiter de leur répartition, telle
que prévu par la loi votée par le Parlement, pour bénéficier de l’aide
indispensable d’un avocat,.
Je n’ai pas à être lésé parcequ’on me refuse arbitrairement les
services d’un juriste.
C-
Le corporatisme
a-
Aucun français ne peut se déclarer compétent dans l’affaire Karachi ou Kadhafi.
b-
Tous les français peuvent se déclarer compétents dans une affaire de viol
quelle qu’elle soit.
c-
En n’instruisant que les affaires financières, on reste entre-soi.
d-
En refusant l’ouverture d’une enquête préliminaire sur un viol présumé on
écarte le peuple et on reste entre-soi.
CQFD.
Je
ne vois pas comment on peut prétendre concourir à une nouvelle mandature sans
avoir rendu compte des crimes de l’exercice de la mandature précédente.
7)-
Le cheminement
La
chose m’a d’abord paru tellement incroyable qu’il m’a fallu les détours dont je
vous ai tenu informé pour parvenir à concevoir le caractère judiciairement
fautif de la Notification du 29 avril 2014 du Bureau d’aide juridictionnelle
(BAJ).
Arrivé
à ce point du cheminement de ma réflexion publique, je ne vois pas qui pourrait
discuter de ces questions, sinon M. le procureur de la République.
Je
porte plainte contre X pour permettre à la justice de vérifier le fait de ces
fautes, de les apprécier, d’en lever l’obstacle, de faire en sorte que ma demande
d’Aide juridictionnelle aboutisse.
Je
rappelle que je demande l’ouverture d’une enquête préliminaire sur les faits
rapportés par Mme Guillaume et qu’il ne s’agit pas là d’une plainte. Les
services judiciaires qui veulent confondre les deux sont tenus d’en donner la
justification. Pour être légale, la justice doit être compréhensible par tous.
Je
ne puis agir sous l’autorité d’un avocat puisque je mets en cause l’organisme
qui doit me donner accès au service d’un avocat.
Le
service d’aide judiciaire gratuit ne me donnera aucun renseignement à partir du
moment où il s’agit d’une dispute d’un
pauvre avec du personnel d’Etat. J’ai pu encore le vérifier sur ce cas-ci lorsque
j’ai voulu savoir si je pourrais poser une Question Prioritaire de Constitutionnalité,
(QPC) en cas de refus de l’Aide juridictionnelle (AJ)..
Je
me rends alors compte que l’une des raisons subliminales pour laquelle je n’ai
pas déposé plainte immédiatement est une séquelle des agressions passées.
La
dernière fois que j’ai porté plainte, en 2000, contre des fonctionnaires pour
viol et association de malfaiteurs avec des voyous civils, visant à spolier et
exploiter des malades mentaux (un mort), j’ai été enlevé, séquestré, par la
police judiciaire, sur ordre de M. le procureur de la République de Paris,
torturé jusqu’à ce que je retire ma plainte ; ce que j’ai fait au bout de
trois semaines.
Après
le constat formel de cette lâcheté, la Cheffe du service à dit :
« C’est bien vous sortez lundi. ». Le praticien tortionnaire m’a
dit : « Vous mettrez 3 ans pour vous en remettre ». J’en
supporte toujours l’emprunte.
Comme
je l’ai dit dans le discussion de la lettre du 25 avril, la violence de la
protection étatique des violeurs fut équivalente lorsque j’ai été violé par des
notables, en 1987. J’ai subi le même parcours et j’ai dû quitter la région, en
1992.
M.
le Directeur des affaires criminelles et des grâces fut tout étonné de
m’entendre l’appeler depuis une cabine de téléphone public à Paris, car j’étais
SDF : « Ha, c’est vous ! ». Il me croyait
mort. Lui-même ayant participé à la carambouille judiciaire.
Nous
ne devons cependant pas cesser de dénoncer le crime au seul motif de la
certitude d’agressions fascistes.
Conclusion
A
moins de nous expliquer publiquement que
le droit de cuissage est rétabli ; le viol d’une députée concerne
directement tous les français.
Il
est bien de voler au secours du violeur présumé. Il serait aussi intéressant
qu’on se préoccupe de la violée présumée.
Je
porte plainte contre X afin que soit rétablit le bon fonctionnement de la
justice et que soit nommé un avocat par l’AJ totale à laquelle j’ai droit pour
l’examen des faits rapportés par Mme Guillaume.
Je
vous prie d’agréer, Monsieur le procureur de la République, l’assurance de mes
salutations distinguées,
Marc SALOMONE
PS :
Liste des pièces jointes à la page suivante.
Pièces
jointes
1-
Le 10 avril, lettre à M. le Bâtonnier pour obtenir son soutien dans la demande
d’aide juridictionnelle.
2-
Le 14 avril, lettre à M. le procureur de la République.
a-
Pour prendre acte du refus d’instruire de la Cour de Justice de la République
et donc d’une certitude de compétence du Parquet.
b-
Protestation au sujet de l’évidente discrimination sociale vis-à-vis de M.
Salomone.
3-
Le 14 avril, Réponse de M. le Bâtonnier.
Il
énonce les conditions d’attribution de l’AJ. Loi du 10 juillet 1991.
4-
Le 17 avril, demande d’aide juridictionnelle totale déposée auprès du BAJ, par
courrier.
5-
Le 21 avril, lettre à Madame la Présidente du Tribunal de Grande Instance dont
M. le Bâtonnier m’a dit que dépendait le BAJ.
a-
Exposition de la conformité du projet de M. Salomone aux principes
d’attribution de l’AJ.
b-
Demande de soutien face à la discrimination sociale.
6-
Le 25 avril, en retour de courrier, M. le Vice-président du TGI me répond. Il
met sa réponse « en copie » pour le BAJ.
7-
Le 29 avril, le BAJ rédige une « Attestation de dépôt d’une demande d’aide
juridictionnelle ».
8-
Le 3 mai, lettre à M. le Président de la République.
Protestation
contre le faux en écriture publique que constitue l’Attestation du BAJ.
9-
Le 9 mai, Lettre au BAJ.
Etude
de la réponse du TGI, 1ère partie.
10-
Le 26 mai, Lettre au BAJ.
Etude
de la réponse du TGI, 2ème partie.
11-
Le 27 mai, lettre aux députées et sénateurs pour leur demander de soutenir la
demande d’AJ et d’avocat. Par mail.
12-
Le 3 juin, Lettre à M. le procureur de la République.
Etude
de la réponse du TGI, 3ème partie.
13-
Le 6 juin, Lettre à Mme la Garde des Sceaux
Exposition
d’une faute du BAJ et de M. le Vice-président du TGI
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