mercredi, octobre 23, 2019

22.10.19, contribution 35, liberté, vigiliance, massacre, préfecture, 03.10.19, religion.

Paris, le mercredi 23 octobre 2019

CONTRIBUTION (35) AU DEBAT NATIONAL VOULU PAR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE EN 2019.

REFLEXION SUR LA MISE EN OPPOSITION DE LA LIBERTE ET DE LA SECURITE PUBLIQUE DANS LE DISCOURS PUBLIC FRANCAIS 
(Suite de la contribution 17 octobre 2019 relative à la parité des sexes ; cf. : madic50.blogspot.com)


De la vigilance

L'une des fonctions, et non seulement des effets, du massacre de la Préfecture du 3 octobre 2019 est de clarifier le débat public.
A l'occasion de cette tuerie, la logique interne de celui-ci se met à nue.
Que ce soit la société de vigilance ou toute autre proposition qui se veut le contraire de celle-ci ; ces logiques fonctionnelles ont une qualité commune. Elles se fondent toutes sur l'exclusion d'un mot et de ses déclinaisons.
Elles ignorent le mot Liberté voire s'opposent expressément à son utilité et plus encore à son usage.
La liberté devient une source de peurs et d'aventures car elle n'est déjà plus au fondement des lois et de la pensée publique. Elle en est même sinon l'ennemi du moins le lieu de tous les dangers.
Le massacreur religieux s'est sacrifié pour que cela soit dit et devienne la loi ; de facto d'abord puis de jure.
C'est cela le Pouvoir, le vrai, celui qui permet d'en mettre en œuvre tous les ressorts.
Vive la Liberté !
Marc SALOMONE

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