Paris, le mercredi 24 juin 2015
Premier Ministre
Pour
information :
Président
de la République
Tel. : +33 1 42 92 81 00
Télécopie : 01.42.92.82.99
Conseillère
justice : Françoise Tomé
Garde
des Sceaux
Président
de la Cour d’Appel
Procureur
général
Présidente
du Tribunal de Grande Instance (TGI)
Procureur
de la République
Bâtonnier
Ambassadrice
des Etats-Unis ; puisque citée.
Fax:
+33 1 42 66 97 83
Texte
reproduit sur madic50.blogspot.com
Monsieur
le Premier Ministre,
Le
mercredi 24 juin 2015 au matin, Mme l'Ambassadrice des Etats-Unis à Paris, Jane
D. Hartley, a été convoquée au Quai d'Orsay pour s’expliquer sur les
« faits inacceptables » provoqués par l’administration américaine.
Le
citoyen que je suis a toute confiance dans le gouvernement pour aborder ces
« faits ».
Mon
propos est uniquement moral.
Mme
l’Ambassadrice réside en France.
Elle
est chargée d’écouter le gouvernement, peut être vous-même M. le Premier
Ministre. La télévision nous a montré un étage entier de l’ambassade des
Etats-Unis entièrement équipé pour l’écoute des cadres français.
Elle
dispose aussi des comptes rendus des différents médias, livres, polémiques,
informations, etc.
Par
ces écoutes, comme son prédécesseur, elle connait donc les « faits »
suivants :
1-
La justice française couvre :
a-
Le viol prémédité d’une députée dans l’exercice de ses fonctions par le chef de
l’Etat concerné dans l’exercice de ses fonctions,
b-
La substitution d’un temps de viol à un temps d’étude de l’octroi d’une
subvention pour un Musée,
c-
La transformation de la subvention prévue en paiement de l’activité sexuelle.
d-
La mise en prostitution de la susdite,
e-
L’organisation d’une activité proxénète dans le Palais présidentiel,
f-
Le détournement vers le paiement d’une passe sexuelle de fonds publics publiquement
déclarés pour un Musée,
g-
L’asservissement même symbolique du Pouvoir législatif au Pouvoir exécutif.
2-
Ce viol correspond à la notion juridique internationale de « viol comme
arme de guerre »,
3-
Pour enfouir ces « faits » dans le silence ; cette justice organise
par toutes ses instances concernées des fautes de droit commun pour interdire à
un citoyen l’accès à l’avocat qui permettrait de provoquer un débat sous
l’autorité des magistrats.
3-
Cette pratique institutionnelle dévoile la légalisation de la ségrégation
sociale comme élément déterminant de la politique judiciaire effective.
Elle
sait surement beaucoup d’autres choses que j’ignore.
En
conséquence, elle doit écrire des rapports à Washington pour expliquer que les
cadres français ont si peu confiance en eux-mêmes et dans leur relation au
Peuple qu’il leur apparait comme allant de soi que l’omerta tiers-mondiste et
l’entre-soi élitiste sont les seuls moyens de faire face à l’adversité.
Je
vous suggère très respectueusement, Monsieur le Premier Ministre, de bien
vouloir vous renseigner sur les modalités du passage de Mme l’Ambassadrice des
Etats-Unis au Ministère des Affaires Etrangères.
C’était
le matin ; je pense qu’elle a inclus le rendez-vous dans son parcours de
jogging.
Je
vous prie d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’assurance de mes
salutations distinguées,
Marc SALOMONE
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