samedi, août 21, 2021

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Marc Salomone/ blog : madic50 / Livre : Les deux formes

Jeudi 22 avril 2021

LA RECONNAISSANCE DE LA DISCRIMINATION DES FRANÇAIS DANS L'ATTRIBUTION DES LOGEMENTS SOCIAUX AU COURS DE LA VISITE DU PRESIDENT MACRON DANS LES HLM DE MONTPELIER, le 19 avril 2021.

1)- Les faits

Le lundi 19 avril 2021, le Président de la République visite un quartier dit sensible de Montpellier.

Il se rend dans un hall d'une cité HLM dont la police a évacué les dealers qui l'occupaient militairement.

Il croise opportunément une femme voilée qui se plaint auprès de lui du manque de mixité. Le terme mixité et ses développements tels que mixité sociale veut dire mixité raciale.

C'est le code de langage pour dire que les populations sous contrôle de l'islam sont devenues seules occupantes des lieux ou les français sont effacés.

Elle a fait ses études en primaire dans l'école du quartier. Il y avait un mélange ethnique de populations européennes et de populations diverses de références musulmanes.

L'islam se confond avec des ethnies spécifiques et multiples par différence avec les populations européennes de culture originelle chrétienne et devenues laïques.

Laïque signifie que la pensée publique ne tire plus sa légitimité d'une réflexion religieuse mais civile.

Aujourd'hui, son fils qui a huit ans lui demande si le prénom Pierre existe dans la vraie vie ou s'il n'existe que dans les livres car il ne connaît aucun de ses camarades qui ait ce prénom.

Ce garçon est doué de curiosité. A huit ans, il est déjà capable de transformer en questionnement rationnel ce qui lui apparaît comme une évidence.

Il faut donc attendre une visite présidentielle filmée et la déclaration d'une musulmane voilée, militante, pour qu'il soit dit que la discrimination au logement envers les français est une réalité.

2)- L'historique

Il est en effet patent que les français sont écartés de l'occupation des logements HLM ; immeubles ou pavillons (où ont grandi la plupart des terroristes).

1- Soit, ils partent d'eux-mêmes pour ne plus subir les formes multiples de la domination islamique militante ; à commencer par son association à la pure criminalité.

2- Soit, les organismes d'attribution de logement, les préfectures, les élus, les bailleurs, attribuent prioritairement les logements à des populations migrantes, c'est à dire de référence musulmanes ou expressément alliées à cette idéologie ; tels les chrétiens et animistes africains.

Dans les deux cas, on arrive au bout de quelques années au phénomène que qualifie cette dame, à savoir la disparition des prénoms européens, c'est à dire du calendrier chrétien, au profit de l'exclusivité des prénoms musulmans ou africains.

3)- Le privilège

La réponse des réseaux de cadres français à cette exclusivité démographique est le déni.

a- Une mère musulmane militante peut se plaindre de ne pas voir de français et elle n'est ni la seule ni la première.

b- Par contre, il est hors de question que des cadres français, élus ou bailleurs, prennent en compte la spécificité d'une candidature française à un logement. Ils en font même un point d'honneur.

d- Il était également hors de question que le Président rencontre une française, qui se plaigne de ne pouvoir « mener une vie paisible » dans telle cité.

4)- Le constat

En clair, c'est le constat d'une épuration ethnique de ces quartiers au détriments des français.

Les phénomènes de ghettos (Juifs, nationaux Arabes, Amazigh, Turcs, etc) sont des réalités complexes qui découlent de ce mouvement de remplacement des populations européennes par des populations de référence musulmane.

On le vérifie à Paris intra-muros. Comme à Montpelier, Nice, Marseille, etc, Pierre n'y est visiblement plus présent dans un grand nombre d'écoles primaires. Le parcours scolaire suivra mécaniquement.

Il y a bien une distinction publique entre deux types de populations.

a- Les représentants des pouvoirs-publics le dénient.

b- Les portes-paroles de la population de référence musulmane leur en impose la reconnaissance.

c- Les représentants des pouvoirs-publics de répondre publiquement à tous les français mais acceptent de répondre en privé au questionnement posé par les musulmans.

5)- Les épurations

Ce témoignage montre que l'empêchement d'occupation des logements entraîne une éradication culturelle et administrative des prénoms.

Mais, il entraîne pareillement une épuration raciale du marché de l'emploi.

La population du bassin de recrutement des entreprises bascule.

La population salariée européenne est remplacée par les populations musulmanes ou acceptées par celles-ci.

Avec le salariat vient le capital. La propriété des entreprises bascule aussi.

Ces mutations ont de multiples facteurs liés à la même source :

a- Raréfaction mécanique des candidatures françaises.

b- Racialisme des nouveaux propriétaires d'entreprises.

c- Sélection raciale des crédits d'installation en entreprise au prétexte d'aider les plus pauvres.

d- Militance des cadres publics qui trouvent intérêt à promouvoir au prétexte de la diversité une population salariale acquise à la privatisation des HLM, des entreprises publiques, à la liquidation de la laïcité.

Là aussi, les cadres français répondent par le déni et le mensonge de la concurrence libre et non faussée.

6)- Le vocabulaire

La place des français reconnue par le vocabulaire public, y compris officiel, au titre de classes populaires est également en mutation.

Ils ne sont pas seulement éliminés fiscalement des centre villes au titre de la gentrification et des prix immobiliers.

Le langage, même officiel, prend acte de leur disparition de fait, ou de droit lorsqu'ils sont encore présents, des dénominations administratives et politiques des métropoles.

Ainsi, les termes « banlieues », « quartiers », « quartiers sensibles », « périphérie », « quartiers populaires », « quartiers défavorisés », etc. sont-ils les synonymes de l'exclusivité de citation des arabes, africains, musulmans.

C'est pourquoi, lorsque le Président Macron se rend dans un «quartier sensible », il rencontre des musulmans et cause avec une femme voilée. Ça va de soi.

Le vocabulaire « social » et ses déclinaisons (classes social, ségrégation sociales, mixité sociale, défavorisés, pauvres, discriminés, racisés, etc.) sont également devenus synonymes d'ethnies, races, de référence musulmane. Le social est investi et mis en subordination par l'ethnique et le religieux.

Le vocabulaire pour désigner les français des classes populaires est celui de l'exclusion des métropoles, des lieux décision, d'action, d'économie, de savoir, etc.

Les français vivent dans la Ruralité, les Territoires ruraux,

Ils sont exclus du vocabulaire social. Ils sont les « ruraux ». On aurait dit autrefois, des « ilotes », des « indigènes ».

Désormais, dans les médias, les français sont couramment désignés par le terme de « Franchouillards ». C'est l'exact synonyme de : bougnoule, youpin, négro, yeux bridés, etc.

7)- La disqualification

Il se développe aussi, ci et là, notamment par les média, un discours ouvertement raciste quant aux qualités personnelles des français et des migrants ; au bénéfice des seconds.

En fait, dans les Métropoles, les centres décisifs de la France (économie, culture, politique, Etat, etc.), le vocabulaire sert l'exclusivité de la présence des populations de référence musulmane et la disparition démographique, l'inexistence publique, l'inutilité sociale, des populations européennes.

Durant le premier confinement pour la Covid 19, les salariés restés au travail ont été identifiés aux migrants de filiation musulmane. Non pas seulement parcequ'ils occupent désormais une grande partie du salariat d'exécution en métropole mais d'abord parcequ'ils sont les seuls à être reconnus utiles et que cette reconnaissance certifie en creux l'inutilité des français.

8)- Les illusions provisoires

Les média, les élus, les chercheurs, les cadres administratifs, les patrons, ne se reconnaissent pas dans cette distinction de deux populations en concurrence l'une avec l'autre.

Il en est ainsi car ils pensent encore qu'ils maîtrise cette division et qu'elle ne concerne pas toute la population française mais seulement les classes populaires.

De fait, cette distinction des français et des musulmans, des Pierre et des Mohamed, que présente cette dame ne concerne que les ouvriers et les employés.

Les universitaires et les capitalistes ont longtemps pensé n'être pas concernés.

Et tous sont contents de se débarrasser des ouvriers et employés français qui ont fait les beaux jours des contestations révolutionnaires.

Vive la gentrification des villes ! L'entre-soi ! La légende du Centre et de la périphérie.

En fait, le situation est en train d'évoluer et les universitaires et capitalistes sentent le vent du boulet.

C'est la raison de la multiplication des livres, études, débats, sur l'islamisme, la délinquance dite des banlieues, etc.

Cependant, les auteurs doivent impérativement tenir l'islamisme à distance sans nuire à sa fonction d'élimination des classes populaires française.

Vaste programme !

9)- Deux exemples

Pourtant, au travers de deux exemples complètement distincts les français dans leur masse ont une idée du devenir de cette logique de l'irresponsabilité :

1- La Police-Gendarmerie

a- Les policiers et les gendarmes ont cru longtemps qu'ils pourraient servir d'adjuvant à la racialisation de la gentrification, regarder les ouvriers et employés français s'enfuir dans la ruralité, dominer les populations migrantes vues comme malléables.

b- Désormais, ils vivent couramment à 150km de leur lieu de travail, par raison de sécurité, ce qui les met en illégalité.

c- Leur action est légalement subordonnée à la volonté des voyous à partir du moment où celle-ci s'incarne dans la filiation idéologique de cette femme voilée.

d- Maintenant, ils se demandent où est le Pouvoir ; de leur côté ou en face, chez les voyous de référence musulmane ?

e- Bonne chance aux policiers et gendarmes mis en examen pour viol et homicides !

2- Les Juifs

Longtemps les réseaux de cadres universitaires juifs ont voulu jouer la carte de l'unité sociale des minorités persécutés.

En 2016, en masse, ils ont proposé de réussir en France ce qui a échoué en Israël.

Aujourd'hui, les documentaires nous apprennent qu'il n'y a plus un seul juif dans des cités ou des quartiers où ils étaient installés.

L'éradication de ceux que leurs penseurs présentent comme « l'avant-garde de la société » est banalement une partie de celle des français.

3- Résumé

Cette femme musulmane dit au Président que son fils de huit ans constate qu'il n'y a plus de Pierre. Mais, il n'y a plus non plus de Mila, de David, de flics, de pompiers, de médecins, d'écoles maternelles, de partis politiques, etc.

Il en est ainsi car ils ont été chassés par les musulmans, épurés des candidatures au logement par les cadres dirigeants de l'attribution des logements et de la sécurité publique (les préfectures notamment), incendiés par les révoltés de la Mosquée.

10)- Conclusion

Aujourd'hui, les cadres français ont l'autorisation de cette femme et du Président de la République pour prendre acte dans la composition des HLM du déséquilibre démographique absolu entre les populations qui produisent des Pierre et celles qui produisent des Mohamed.

Le déni de ce fait n'est donc plus possible.

Il devient donc possible de se réclamer de l’Élysée et de la Mosquée pour attribuer des logements, des emplois, des crédits, spécifiquement à des français.

Et enfin, la vie redeviendra paisible.


Marc SALOMONE



PS :


11)- Une fable annonciatrice

Lors d'une émission consacrée à la prohibition ou légalisation du Cannabis, le 21 avril au soir, la sénatrice et Maire-adjointe de Marseille, Samia Ghali, a servi une légende qui a été mise au point par les journalistes de la presse parisienne ; autrement dit de Sciences-Po.

1- La Drogue met en présence les jeunes des quartiers et les bourgeois des beaux quartiers.

2- Ce sont les bourgeois qui ont apporté jadis les drogues dans les quartiers en forçant les jeunes à en consommer.

3- Comme les jeunes des quartiers sont intelligents ils ont renversé le rapport de force et désormais ce sont les bourgeois qui sont servis par les quartiers.

4- Dans les deux cas, les bourgeois exploitent les jeunes des quartiers.

5- Il serait injuste que la légalisation permette aux bourgeois de ne plus payer leur impôt de réparation aux jeunes.

6- La légalisation est donc une mauvaise chose.

7- Si elle avait lieu, les cartels qui dirigent les jeunes répandraient la terreur.

Il faut lire :

1- La maffia Corse a été supplantée par les maffias arabes.

2- Bourgeois est synonyme de Français et Jeunes ou quartiers sont synonymes d'arabes, africains, musulmans.

3- Les consommateurs, français ou non, sont assujettis à ces maffias.

4- Il ne faut pas que ce racket et cette dictature s'arrêtent.

5- L'expansion de cette dictature commerciale garantit l'installation institutionnelle des cadres de la communauté sur une base ethnico-religieuse.

Conclusion

1- Ce discours ignoble, scandaleux, abjecte, est commun à Mme la sénatrice et aux journaux tels que Le Monde.

2- Il est caractéristique de cette manipulation des mots pour assurer la primauté des distinctions ethniques et religieuses sur les distinctions civiles et politiques.

3- Il est désormais installé dans les allées du Pouvoir.

12)- L'épuration caritative

L'épuration raciale des bénéficiaires du caritatif passe inaperçue ou plutôt est censurée.

A Paris, en 20 ans, les restaurants municipaux gratuits, les colis associatifs (secours catholique, resto-du-cœur, etc), les repas du soir de rue, sont devenus des lieux exclusivement racialistes au détriment des français.

La fourniture de clientèle est assurée par les assistantes sociales et les associations locales.

L'épuration est déjà là et non-dite.

En mars 2021, le resto-du-cœur qui ne comptait déjà pratiquement plus de français dans sa clientèle, a jugé que 1000euros pour une famille de deux personnes était un signe de richesse et donc d'exclusion.

Sous la commodité de la gestion de la misère, on épure les derniers et rarissimes français.

A l'Armée du Salut, la soupe du soir est placée sous l'autorité des gardiens arabes et africains.

Leur racisme intrinsèque est couvert par la Direction et le procureur de la République.



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