vendredi, juin 19, 2020

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Paris, le vendredi 19 juin 2020


CONTRIBUTION (46) AU DEBAT NATIONAL VOULU PAR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE EN 2020.

REFLEXION SUR LA SUBVERSION DE L'ETAT PAR LES AVANT-GARDES MIGRATOIRES ET SUR LES BENEFICES POPULAIRES DE LEURS ACTIONS.

(Suite de la réflexion n°45 du 8 juin 2020 et précédentes. cf. : madic50.blogspot.com)


DE LA RAISON POUR LAQUELLE LA CHIENLIT ILLUMINE L'IMPUISSANCE DE L'ETAT ET DES FRANCAIS


A la suite des conflits raciaux entre Arabes et Tchétchènes à Dijon, le Député Eric Ciotti déclare le 16 juin 2020 : «On ne peut pas laisser prospérer cette guerre des gangs (…) une chienlit qui se généralise.»

Ces gangs et leurs excroissances islamistes ou politiques sont ethnico-religieux. Ils sont là en premier lieu où les populations qui les alimentent sont dominantes.

Celles-ci sont prépondérantes parce que les élus et les chefs d'administrations concernés (notamment les préfets et les Maires) accompagnent depuis trente ans, le parti ethnico-religieux dans sa diversité dans sa conquête de l'espace territorial, humain et politique, que sont les Cités HLM et de là vers certaines hégémonies.

Désormais, la subversion de l’État est flagrante.

a- Celui-ci n'est plus reconnu comme la référence de l'ordre public. Les conflits se soldent à la Mosquée du coin et cette conclusion s'impose au droit.

b- On veut imposer comme norme publique le fascisme du soutien politique aux gangsters contre les forces nationales de la gendarmerie et de la police.

Pour faire simple ; à chaque incendie de voitures par les avant-gardes ethnico-religieuses, les attributaires de logements (bailleurs, préfets, communes) ont remplacé, prioritairement et massivement, les français fuyant ce déchaînement de haine raciste et de servitude, par les populations correspondant à ces avant-gardes.

Sans les croisements d'intérêts de ces deux forces, il n'y aurait pas de « territoires perdus de la République » ; du moins dans la plus complète impuissance des français.

Cette rencontre a créé les farces idéologiques sinistres que sont la discrimination ou l'antiracisme.

Les « discriminés », les « racisés », ont ainsi obtenu des passe-droits, des priorités, des exclusivités, des facilités, des connivences, des accommodements, dans le logement, l'emploi (notamment public, voire l'exclusivité dans les entreprises dites musulmanes), le crédit commercial (cf. le Qatar complété par l’État), l'éducation (voir les privilèges de cours de soutien et d'accès aux Grandes écoles), et ainsi de suite.

a- Les fameux « ghettos » sont des cités conquises et présentées comme des lieux de « relégation ». b- Les plus beaux logements du monde deviennent des baraquements concentrationnaires.

Cette légende permet ainsi de revendiquer la conquête de nouveaux territoires dont une partie deviendront de nouveaux « ghettos » donnant droit à de nouvelles conquêtes et une autre partie, (notamment pour la bourgeoisie communautaire), deviendra les enclaves discrètes dont il est interdit de dénoncer la fermeture raciale sous peine de racisme.

L'un des aspects de l'ordre public est donc de relocaliser les français ; tant dans l'emploi que dans le logement, le crédit commercial, le cursus scolaire, et ainsi de suite.

Les cadres élus et administratifs français en ont-ils encore les capacités, ne serait-ce que personnelles ?

Dans le cadre des commémorations du 18 juin 1940, nous pouvons dire : Wait and see.


Marc SALOMONE






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