dimanche, octobre 21, 2018

21.10.18, castaner, collomb, populations, islam de france, macron,


blog : madic50.blogspot.com / Livre : Les deux formes, Amazon

Paris, le dimanche 21 octobre 2018

REFLEXION SUR LES MOUVEMENTS DE PERSONNES QUI « CHANGENT TOUT » DANS LES TERRITOIRES DE « RECONQUETE REPUBLICAINE ».


Le ministre de l'intérieur, M. Castaner, dit dans le JDD du 21,10,18 : « Quand vous mettez trente policiers de plus dans un quartier, ça change tout – des policiers que j’ai rencontré sur le terrain me l'ont dit ».

L'expérience montre que c'est faux et le propos de M. Collomb, prédécesseur de M. Castaner, vise justement à dire que le temps des expérimentations est clos.

Par contre, le 21 Avril 2018, pour la première fois à ce niveau de responsabilité, 300 personnalités ont signé une pétition faisant état d'une « épuration ethnique à bas bruit ».

Ma famille, ouvrière, étant aussi bien dans le 93, à Saint-Denis, que dans le 92, à Malakoff, je connais un peu le processus « d'épuration ethnique à bas bruit » en banlieue.

Cependant, ce texte communautaire concerne uniquement les juifs. A ce titre, il constitue une rupture dans l'unité nationale et s'inscrit donc théoriquement dans la division entre les français dont cette « épuration à bas bruit » est une des pratiques.

Il n'en reste pas moins qu'il indique que la logique des pertes d'autorité des pouvoirs publics sur des « territoires » est d'abord le fait d'un changement de populations au profit de certaines populations et au détriment d'autres.

Cette pétition nomme expressément ces populations conquérantes par leur idéologie de rassemblement qu'est l'islam.

Pour préciser la primauté de cette référence sur les autres, les auteurs préconisent que seuls les musulmans soient habilités à débattre de la validité du texte coranique.

Pour la première fois, certains principes de l'islam sont reconnus comme ayant des responsabilités dans les faits publics considérés.

Cette conception tribale et non nationale du débat public est contraire aux principes de liberté, d'égalité, d'universalité et de laïcité du débat public et scientifique.

Nonobstant ces obstacles archaïques ; vous ne dites pas autre chose, et plus personne ne dit autre chose, en annonçant que vous présenterez au président de la République, Emmanuel Macron, dans « quelques jours » les résultats de la consultation organisée dans chaque département sur l’organisation de l’Islam de France.



Ce questionnement est d'autant plus difficile que les Pouvoirs publics sont pleinement engagés dans ce croisement inégalitaire des arrivants et des partants puisque ce dernier repose d'abord sur le logement social dont l'attribution est administrative.

Ce que je vis en accéléré dans mon quartier du 20ème ardt est que le recours à des Commissions d'attribution indépendantes ne fait que souligner la pénétration institutionnelle des réseaux ethnico-religieux.

Dans ma Citée, depuis trois ou quatre ans, les enfants allant à l'école primaire sont passés à 90% de migrants. Ils sont prioritairement musulmans comme les mariages le donnent à voir.

Je suis par ailleurs écrivain public depuis 25 ans. Je vois la différence de traitement racial tantôt au bénéfice des migrants et tantôt au détriment des français par les bailleurs sociaux et au besoin par les services de la préfecture.

Par exemple :
a- Il suffit d'écrire à un bailleur parisien pour lui demander l'attribution d'un logement à un retraité algérien vivant en Algérie ; au titre du regroupement familial avec sa fille clandestine mariée à un migrant légal.
Trois mois après, un logement lui est attribué. Il ne lui convient pas et il en obtient un autre.
Ce ne sont pas, mais alors pas du tous, les mêmes procédures ni les mêmes délais pour les français.
b- A l'évocation du possible caractère « raciste » d'une amende de stationnement déposée sur le par-brise d'une voiture, le fonctionnaire et le chauffeur ne s'étant pas vus, la suppression de l'amende est accompagnée d'une lettre d'excuse du Sous-préfet.

Les conséquences dans l'organisation de la vie politique institutionnelle locale sont désormais visibles.
Exemples :
1- Le partage ethnique du contrôle des bureaux de vote aussi bien par la composition du personnel administratif du scrutin que par l'entrée massive de militants ethniques organisés au moment du dépouillement pour occuper la place et empêcher les « blancs » ou « français » d'y participer.
La répartition des sites électoraux entre africains et maghrébins.
2- Retraité, j'assiste à des réunions publiques auxquelles les partis les plus divers me convient par le Net.
a- Je constate partout la présence permanente de délégations ethnico-religieuses, de 2 à 5 membres, dont le seul objet est de s'affubler d'un pouvoir de contrôle de la parole publique. Si l'avertissement n'est pas compris, les gris-gris idéologiques du racisme laissent place aux imprécations religieuses et aux appels incantatoires.
b- Ceci contraste avec l'absence de ces populations au titre de curieux. Ceci, alors même qu'elles sont massivement présentes dans le quartier.
c- Cela aussi bien, par exemple, dans les assemblées municipales de la Maire socialiste pour laquelle je vote que dans les assemblées culturelles du Parti communiste ou les assemblées de droite auxquelles je suis conviées.

A partir de l'examen d'une formule de M. le Ministre de l'intérieur : ce propos succinct a pour seul objet de substituer un texte à l'autre et de permettre la confrontation de la validité des deux textes.
a- Le Ministre dit : « Quand vous mettez trente policiers de plus dans un quartier, ça change tout »
b- Je pense qu'il faut dire : Quand vous mettez trente (français) de plus dans un quartier, ça change tout
Marc SALOMONE

Aucun commentaire: